1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 20/01/2019, Catégories: ff, fépilée, Oral init, Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe

    ... tentée par sa proposition ! Je n’avais pourtant pas oublié sa petite phrase : « Il n’y a qu’une seule chose qui pourrait me rendre encore plus folle de toi. » Je récupérai mes sous-vêtements dans le bac à linge et les plaçai dans le tambour de la machine, en jetant un coup d’œil à Isabelle à chaque fois. Et chaque fois elle regarda la dentelle, ou le coton de chaque pièce, tantôt culotte, tantôt soutien-gorge, et me rendit un petit avis de la tête : "bien", "très bien", "je m’en lèche les babines par avance", ou "juste bon pour traîner quand on a ses trucs". La majorité oscillait quand même entre "très bien" et "je m’en lèche les babines", et je remplissai la machine avec une certaine fierté. Encore quelques habits fragiles et je pus mettre la lessive. Nous voilà parties pour presque deux heures de tranquillité.
    
    — Alors, lui dis-je abruptement une fois la machine lancée, qu’est-ce qui te rendrait folle de moi ?
    — Je voudrais que tu devines.
    
    Elle s’éloigna un peu et se plaça à côté de la baignoire, debout, en me défiant presque du regard. Elle plaça ses mains dans le dos. Elle était magnifique, détendue, nue, ses seins dirigés vers moi comme s’ils voulaient ma bouche sur eux, ses cuisses légèrement écartées, laissant apparaître… oh ! un si beau trésor, toujours cette beauté physique, ce sexe, cette vulve si attirante, ces velours lorsque ma langue s’y aventure.
    
    — J’ai combien d’essais ?
    — Trois.
    — Et si je ne trouve pas ?
    — Alors je ne te demanderai pas ton avis, ...
    ... me dit-elle avec un sourire presque gêné.
    — C’est pas de la chirurgie esthétique au moins ? Parce que là, il n’y aura même pas de discussion : c’est non !
    — Non, tu n’en as pas besoin… Tu es superbe, pas de changement physique.
    — Ni de coiffeur ? J’aime bien ma coupe, continuai-je.
    — Non plus, et ça fait deux… Plus qu’un seul essai !
    
    Et me disant cela, elle écarta un peu plus ses jambes, lentement. J’étais troublée, fascinée par ce qu’elle recommençait à me dévoiler : ses belles lèvres, charnues, chaudes, parfumées.
    
    — Tu triches ! Je ne peux pas me concentrer ! lui dis-je avec une vraie-fausse vexation.
    — Au contraire, je t’aide.
    
    Et elle me fit un clin d’œil. Je ne comprenais pas. Elle me donnait envie, elle s’ouvrait pour moi, pour mes yeux. J’avais toujours envie de plonger mon visage entre ces jambes, entre ces cuisses tentatrices, sur ce sexe si beau.
    
    — Je ne sais pas ; j’aimerais donner ma langue à ton chat.
    
    Elle était facile, et Isabelle me fit le plaisir de sourire à ma blague. Elle remit ses bras devant elle, et avec ses deux index et pouces, forma un triangle à travers lequel je pouvais voir son pubis sans poils. Elle s’avança vers moi tout en gardant ses mains dans cette position ; je me retrouvai à ne plus pouvoir dévier mon regard. Je regardai cette fente, ce mont de Vénus, ces lèvres, ces cuisses qui encadraient cette œuvre d’art… Elle s’arrêta à quelques centimètres de moi et me dit doucement :
    
    — Si tu te mets à genoux, tu verras ce qui me ...
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