Toutes des petites salopes (7) - Histoires de Sexe

Toutes des petites salopes (7)

... saigne... Mon cul...

Je ressortais ma queue doucement de son orifice et je vis effectivement mon membre turgescent maculé de sang. Le cul de Magalie déversait un petit flot de sang qui s’écoulait lentement.

Elle tenta de se relever mais son corps fatigué et affaibli resta figé au sol. Elle ne pouvait plus se lever ni même se redresser.

J’allai chercher prestement des lingettes hygiéniques dans le tiroir de la table de nuit et en sortis deux pour lui essuyer délicatement le sang qui coulait. Elle grimaça et poussa un petit gémissement de douleur quand je passais les lingettes sur son trou du cul sanguinolent mais se laissa faire. Je m’en voulais de cette situation, j’avais débandé à la vitesse de l’éclair. Ma bite était croûtée de sang et pendait toute penaude et coupable entre mes jambes.

— Je suis vraiment désolé, Mag. Vraiment, m’excusais-je d’une voix empreinte de remords.

— Ça va aller mon beau, m’assura-t-elle d’une voix faible mais qui se voulait rassurante. Va me chercher la crème qui est dans mon sac s’il te plaît. Celle avec un embout rouge.

Je me levai rapidement et saisis son sac pour y récupérer la crème. Je compris tout de suite ce qu’elle voulait et commençai à lui appliquer ce baume sur ses fesses sensibles. Le sang avait arrêté de couler alors que je lui massai le trou du cul. J’enfonçai doucement un doigt pour faire pénétrer la crème et cela me remit une semi-trique instantanément. J’étais vraiment un affamé ! Je n’arrivais même pas à me ...

... contrôler quelques secondes. D’ailleurs, Magalie sentit très vite mon érection qui montait contre sa jambe.

— T’es vraiment irrécupérable toi ! réussit-elle a plaisanté.

— Désolé, bredouillais-je en remettant ma queue en place.

— Aucun souci. C’est moi qui l’ai voulu tu sais. Même si j’aurais dû t’arrêter avant, avoua-t-elle.

— Je pensais pas que j’allais carrément t’ouvrir les chairs, ajoutai-je.

— Moi non plus, je l’ai senti d’un coup et toi tu as dû penser que je mouillais comme une folle à cause de la jouissance.

— C’est ça oui, ça m’a donné envie de te baiser encore plus fort.

— C’est de bonne guerre, s’amusa-t-elle, même si je crois que je vais plus m’asseoir pendant des jours. Tu m’as vraiment déchiré le cul, c’est le cas de le dire.

— Tu pourras au moins repenser à moi toute la semaine en tortillant du cul. Tout le monde saura que t’es une petite salope qui aime se faire casser le cul !

— Et j’assume totalement ! asséna-t-elle avec fierté.

— Je le sais bien ma chérie.

Elle me sourit et me tendit la main pour que j’essaie de la relever. Je la pris sous les aisselles directement pour la redresser plus facilement mais elle émit un couinement de douleur. Elle passa un doigt sur son cul.

— Tu peux me passer la crème s’il te plaît ?

Je lui tendis le pot et je la vis en verser une grosse quantité au bout de ses doigts avant de se la badigeonner sur son petit trou sensible. Elle se pencha en avant pour passer sa main sous son entrejambe et ...