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Toutes des petites salopes (7)
Datte: 20/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: Botran, Source: Xstory
... là, au-dessus de son corps fatigué, la queue plantée dans son cul divin. — Tu aimes ça ? bredouillais-je maladroitement. — Remets-moi le tee-shirt dans la bouche et étrangle-moi ! Vas-y, fais-le ! J’adore me sentir partir à la limite de l’inconscience quand tu me violes le cul ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Je restai sans voix et même choqué qu’elle y prenne un plaisir insoupçonné. En fait, c’était moi le dindon de la farce. Elle jouissait carrément de cette domination plus qu’humiliante. Je la maltraitais au maximum de mes capacités mais finalement c’était pour son plus grand plaisir. Elle m’incitait à continuer de la dominer, réduisant ma vengeance à rien de moins qu’une offrande. Je saisis alors le tee-shirt dans la main, lui enfonçait au plus profond de la bouche, et ne m’arrêtais que lorsque je l’entendis tousser d’avoir le tee-shirt qui devait lui toucher la glotte. Je m’activai alors de nouveau et bougeai mon bassin pour lui asséner des coups de pine aussi violents que possible dans son p’tit cul. Elle hurla de nouveau en sentant mon pieu lui ruiner le conduit anal. Elle devait vraiment souffrir car je sentais que le passage était très difficile. Je voulus alors aller plus loin et lui pris les cheveux d’une main ferme. Je tirai dessus le plus fort que je pouvais et je sentis à ce moment-là son cul se resserrer net et sa respiration s’arrêter. Elle poussa un hurlement en tournant la tête vers moi et je vis dans ses yeux une douleur profonde mêlée à ...
... une excitation malsaine. J’en profitai alors pour continuer ma chevauchée tandis que je lui tirai encore plus fort les cheveux. Elle tentait de me stopper car la douleur devait maintenant prendre le pas sur l’excitation (quoique je n’en étais même plus certain avec ce qu’elle m’avait avoué tout à l’heure). Je me mis à la cambrer fermement vers moi en glissant ma deuxième main autour de son cou. Elle était tendue au maximum, sa poitrine pointait fièrement en avant. J’essayais de serrer le plus fort possible pour lui couper net toute respiration. Elle devenait de plus en plus rouge et je vis même des larmes couler de ses yeux exorbités. Je tirai alors encore un peu plus sur ses cheveux pour que sa tête se retrouve inclinée à l’envers vers la mienne. Je la forçai à adopter une souplesse à toute épreuve. Elle était allongée sur l’avant des jambes mais tout le haut de son corps était arc-bouté en arrière et formait désormais un demi-cercle. Elle commença à avoir des tremblements et je sentis même son cul s’ouvrir un peu plus et ruisseler d’un seul coup. Je relâchai mon étreinte de son cou pour lui maintenir seulement la tête des deux mains pendant que je continuais à la pilonner. Elle éructa et un filet de bave coula de ses commissures. — Argggghhh !! Arrête-toi, stop ! m’implora-t-elle d’une voix plaintive. Je stoppai net car je sentis une réelle détresse dans sa voix. — Ça va ma chérie ? dis-je en relâchant doucement sa tête vers le sol. — Je crois que je ...