Toutes des petites salopes (7) - Histoires de Sexe

Toutes des petites salopes (7)

... tout à l’heure. A la vue d’un tel spectacle, je ne pus m’empêcher de tendre la main pour peloter le cul si délicieux qui se présentait devant mes yeux. Lorsqu’elle arriva sur la dernière marche, mon majeur était pointé à quelques millimètres de son petit trou. Elle dut le sentir car elle s’arrêta brusquement et cambra ses fesses en arrière. Mon doigt pénétra instantanément son conduit anal sans que je ne puisse le retirer. Quelle salope ! Même pas fichue d’attendre d’être dans la chambre, elle avait besoin de se faire doigter le cul à peine arrivée en haut des escaliers ! Je la poussai en avant, mon doigt toujours profondément enfoncé dans son fondement mais elle avançait très lentement et presque, essayait de résister en bloquant notre progression vers la chambre. Elle savait comment me rendre fou !

Je passai à la vitesse supérieure et lui enfonçai alors deux autres doigts dans le cul. Elle poussa un gémissement de plaisir à peine dissimulé et consentit enfin à avancer. Elle ouvrit la porte de ma chambre et à peine entrer, je retirai mes doigts de leur cachette pour pousser (propulser serait plus juste) Magalie à l’autre bout de la pièce. Elle fut surprise et poussa un petit cri en tombant lourdement sur le ventre contre le sol. Je sentais que le choc avait dû être violent car elle ne se releva pas assez vite et prononça un « ouille » avec une voix empreinte de douleur. Je ne lui laissai aucun répit. Après avoir verrouillé la serrure, je me jetai sur elle en un éclair ...

... et sortis ma queue pour la lui planter directement dans le fion. Je pesai lourdement sur elle et commençai à taper dans son cul comme un dératé en lui maintenant la tête contre le sol, la joue gauche écrasée sur la moquette. Je n’étais pas sûr qu’elle appréciait ce soudain excès de violence car elle se débattit comme une lionne, essayant de me donner des coups de pied, de me foutre des baffes en se retournant, et même de me mordre la main qui lui maintenait la tête.

— Espèce d’enfoiré ! Tu vas voir ce que je vais...

Je la coupai net en lui enfonçant le premier truc qui me tombait sous la main dans la bouche. Apparemment, c’était le haut qu’elle portait ce matin (voir chapitre 4) et qu’elle avait laissé traîner à côté de mon bureau. Je lui remplis la bouche quasi entièrement avec, et Magalie se retrouva les joues gonflées comme un hamster. Je vis une expression de dégoût se fixer sur son visage, l’odeur de sperme séché sur son haut devait sentir bien fort dans sa bouche et lui laisser un goût très amer. Cela dit, je n’avais aucune pitié et continuais de la baiser comme un fou ! Je lui martelai le cul encore et encore sans m’arrêter, je voulais lui donner ce qu’elle cherchait pour une fois. Elle se mit à geindre de plus belle et continuait à se débattre comme une diablesse, je n’arrivais pas à l’épuiser ! Je me mis alors à tester autre chose. Je relâchai la main qui maintenait sa tête au sol et lui saisit les deux bras pour les lui bloquer dans le dos. Puis de mon autre ...