Toutes des petites salopes (7) - Histoires de Sexe

Toutes des petites salopes (7)

... main, je tendis mon pouce, mon index et mon majeur pour lui pincer le nez.

Elle comprit tout de suite ce que je voulais faire et tenta vainement de se dégager mais je le lui agrippai fortement. Je la besognais encore plus fort, d’ailleurs ma queue me fit mal car son cul devenait de plus en plus sec et le passage de ma bite qui coulissait commençait à m’irriter le prépuce et devait aussi lui irriter les parois annales.

J’étais résolu à ne surtout pas craquer le premier, je voulais l’humilier pour de bon cette fois-ci, elle m’avait cherché une fois de trop et j’avais à cœur de lui montrer de quoi j’étais capable moi aussi. Je donnai alors un grand coup profond dans son cul qui la fit hurler dans son bâillon improvisé. Je la vis plisser les yeux de douleur, et le court laps de temps durant lequel elle s’immobilisa pour accuser le coup, je lui saisis le nez de mes trois doigts et lui pinçai aussi fort que je pouvais, m’assurant une bonne prise de laquelle elle ne pourrait pas se dégager. Je vis seulement son œil droit s’écarquiller largement et me fixer d’un air assassin. Elle tenta encore de se sortir de cette position de soumission en se débattant comme elle le pouvait mais je voyais bien qu’elle commençait aussi à s’épuiser. Son visage prit petit à petit une teinte rosée puis rougeâtre. Elle manquait enfin de souffle. Cette vision me fit bander encore plus dur et je me mis à redoubler de violence pour lui défoncer le cul à grands coups de pine répétés.

Elle hurlait ...

... littéralement dans son bâillon et des larmes coulaient de ses yeux embués.

— C’est ça sale petite pute ! lui murmurai-je. Tu te sens suffoquer hein. Lutte encore, hum oui. Tu me fais tellement bander comme ça ma chérie. J’ai l’impression de te violer c’est tellement bon.

— Mmmmmmmmm !!!!!!! cria-t-elle en guise de réponse dans un ultime effort.

Je vis ses yeux commencer à se révulser légèrement alors je stoppai immédiatement sa suffocation. Je retirai mes doigts de son nez et entrepris d’enlever le tee-shirt de sa bouche. Elle inspira d’abord une grande dose d’air par le nez avant de soupirer par la bouche. Ses lèvres tentaient d’articuler quelque chose mais elles restaient à demi ouvertes, laissant couler des filets de baves sur la moquette.

Je commençai à réellement flipper. Etais-je allé beaucoup trop loin ? Je ne voulais pas lui faire du mal à proprement parler, juste aller encore plus loin dans notre perversion.

— T’ar... es... as... Ais... oi... al, bredouilla-t-elle en recouvrant son souffle peu à peu.

— Quoi ? m’inquiétais-je encore plus.

Elle avait vraiment l’air d’être dans un sale état, mais malgré tout, ma queue continuait à donner quelques petits coups dans le cul de Magalie, comme si elle ne pouvait jamais s’arrêter de la pénétrer.

— Ma chérie ? Qu’est-ce que tu...

— T’arrête pas ! articula-t-elle. Fais-moi mal putain. Étouffe-moi encore pendant que tu m’écartèles le cul !

Je ne comprenais plus du tout ce qu’il se passait ! Je restai ...