Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... les jambes de manière à dégager ma chatte et mon trou du cul, j’imagine.

— Tu as été désobéissante et ta maîtresse nous a donnée l’ordre de te punir sévèrement.

Ha ! Maîtresse Syl, comme je voudrais que vous soyez présente en ce moment pour me punir vous-même ! aidée par Josiane.

Monsieur Régis jouait avec la brosse en la faisant aller et sortir de mon vagin. Il n’avait pas la délicatesse de Charles et cherchait à satisfaire son envie plutôt que la mienne. Directrice Régine faisait des commentaires sur élasticité de ma chatte qui enserrait à chaque retrait la partie la plus fine du manche.

Un grand flop et l’impression de vide me renseignèrent du retrait de l’engin de mon ventre.

— Tu dois compter à chaque coup et remercier celui ou celle qui te le donne.

Je répondis par un wouaf de circonstance.

Les coups tombaient alternativement par elle ou par lui : le martinet pour elle la laisse pliée en deux pour lui.

— Un, merci Madame.

— Deux, merci Monsieur.

Ils tapaient en rythme et vraiment fort. Je pensais que je ne pourrais pas m’asseoir pendant plusieurs jours.

— Vingt-cinq, merci Madame.

Charles filmait et Monsieur continuait seul sur et entre mes fesses. Madame avait entrepris de me cingler les seins en tapant par-dessous. Je devais tenir le compte sur mes fesses et sur mes seins.

Mes bouts étaient durs comme du bois et mes fesses me brûlaient comme jamais.

À chaque nouveau coup, mes seins tressautaient et mon clitoris ...

... m’électrisait.

Le plaisir qu’ils éprouvaient était palpable. Charles se touchait l’entre- jambe tellement l’atmosphère était contagieuse.

Je n’avais jamais subi aussi intensément une correction. J’étais en extase, j’avais mal partout, mais mon esprit réclamait mon sacrifice librement consenti. J’entonnais la chanson de l’Esclave. Madame m’ordonna de chanter plus fort.

C’était compliqué de compter et de chanter.

Une esclave m’a dit.

Moi je voudrais des perles lourdes

Des perles noires des émaux

Être muette et presque sourde...............

Ils s’arrêtent alors que j’en suis à 47 sur les fesses et 21 sur les seins ...

Je suis en eau, l’effort est intense et je transpire à grosses gouttes. Du pied Monsieur me fait m’affaler sur le tapis. J’ai droit à une gamelle pour boire de l’eau, mais je dois la laper comme une chienne et ne pas la toucher avec les mains.

Mon poitrail était zébré de marques rouges. Je me touchais dans une l’extase complète. Mes fesses devaient être pareilles. Charles me montra le film après pour que je puisse voir mon abandon total, ma dévotion profonde, ma totale soumission.

Je croyais en avoir terminé pour la journée, mais c’était sans compter sur la perversité de Madame. Elle suggéra à Monsieur de m’enculer : la position pour la fessée était la meilleure que l’on puisse rêver.

Je me remis donc en place et sentis de suite la bite pointue qui cherchait mon petit trou. Mais il préféra se faufiler dans mon vagin humide pour se lubrifier. ...