1. Éveil à l'autre masculin


    Datte: 18/01/2019, Catégories: h, hh, jeunes, école, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, intermast, Oral hdanus, hsodo, init, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... traversa l’esprit. La grâce juvénile de son corps et de son visage tranchait avec la fine musculature et les abdominaux parfaits qui faisaient de son ventre un modèle de la statuaire hellénique.
    
    — À toi !
    
    Bien que chuchotés ces deux mots avaient la force, non pas d’un ordre brutal, mais d’une invitation bienveillante quoique sans appel.
    
    J’essayai d’imiter la grâce naturelle qui présidait chacun de ses gestes et me retrouvai, quoiqu’un peu plus fébrile, dans la même tenue que lui. Par souci de mimétisme j’avais plié avec le même soin ma chemise et ma cravate sur la chaise d’acajou à côté de moi.
    
    — Continuons ensemble !
    
    Sans savoir pourquoi j’acquiesçai de la tête.
    
    Comme dans un miroir, je calquai mes gestes sur les siens. Épousant son rythme, j’essayai de mettre dans mon déshabillage la même délicatesse désinvolte. Je me mis à genoux comme lui, pour défaire les lacets de mes brodequins et enlever mes chaussettes. Pieds nus sur le tapis bleu, je ne sentis rien de la fraîcheur vespérale qui infiltrait les couloirs et les salles des vieux bâtiments du pensionnat dès le soleil couché.
    
    Nos doigts, à l’unisson, défirent le bouton de la ceinture de nos pantalons, et ceux de nos braguettes suivirent. François descendit le tissu bleu le long de ses cuisses et mes mains accompagnèrent de conserve le lent effeuillage. Nous étions maintenant face l’un à l’autre avec pour tout vêtement que le tissu blanc, dernier rempart avant la nudité totale. Je portais un caleçon ...
    ... de coton un peu ample et me rendis compte que François exhibait un sous-vêtement qui n’appartenait pas au trousseau des pensionnaires. Le slip étonnamment « moderne » était plaqué contre son corps, comme une seconde peau. Je n’avais jamais vu un tel sous-vêtement. On avait l’impression qu’il avait été fait sur mesure. Ce n’était pas du coton… enfin je ne sais pas. Le tissu ne formait aucun faux pli et la découpe sur le côté remontait assez haut sur la taille. Il épousait et soulignait impeccablement chaque courbe, chaque bosse.
    
    Je sentis pour la première fois depuis quelques minutes une certaine gêne. François était tellement beau.
    
    J’avais l’impression d’être un peu ridicule avec mon caleçon informe. Son slip, renforcé sur le devant comme une fausse « poche kangourou » soulignait la forme de son sexe, accentuait l’arrondi de ses bourses. Je devinai la forme de sa verge enveloppée par le tissu. Jusque-là, la lenteur qui avait présidé à notre déshabillage avait masqué avec bonheur le reste de pudeur qui me retenait, mais je n’avais plus en tête que l’envie pressante de me débarrasser de l’horrible caleçon qui me couvrait. Sans attendre qu’il reprenne la main, je glissai moi-même mes doigts sous l’élastique et abaissai le coton blanc, découvrant les premiers poils drus de mon pubis puis la verge que je sentis frémissante et enfin les bourses. François avait suivi mon geste et alors que l’élastique arrivait à hauteur des cuisses, il me fit signe d’arrêter.
    
    Objet obscur du ...
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