Éveil à l'autre masculin
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
h,
hh,
jeunes,
école,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
intermast,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
confession,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... désir, je pouvais pour la première fois examiner tout à loisir le sexe d’un autre garçon et laisser libre cours à ma curiosité. Il était un peu plus long, un plus fin que le mien, très pâle, surmonté d’une petite couronne de poils blonds diaphanes et reposait mollement sur des testicules glabres qui me parurent énormes. Les miens, sans être petits, étaient plutôt resserrés à la base de la verge ; les siens pendaient comme ceux que j’avais vus se balancer entre les pattes arrière de certains animaux. Lui aussi examina mon sexe. Je sentis son regard, se poser, caresser, scruter chaque millimètre de mon anatomie. J’étais fasciné par la situation. François était devant moi, le slip baissé à mi-cuisses exposant à mon regard curieux ce sexe qui avait, la veille, accompagné mes caresses vespérales.
D’un imperceptible signe de tête qu’il accompagna d’un sourire à faire fondre un garde-Suisse, il fit glisser le tissu puis, s’étant retourné, il se pencha pour le ramasser. Il resta quelques secondes courbé vers l’avant me laissant me repaître du spectacle de ses fesses. Imberbes, pâles, musclées sans excès, elles s’écartèrent légèrement quand il leva le pied pour se débarrasser de son slip. Les quelques secondes nécessaires pour qu’il lève alternativement les deux jambes me laissèrent sous ébahi par le spectacle des lourds testicules se balançant mollement entre ses cuisses. Une poussée incontrôlable d’adrénaline me submergeait et il me fus impossible de contrôler le violent accès ...
... de sang qui gonfla mon sexe. Sous l’effet de la pression, je le vis, malgré moi, se délover, grossir. Lentement la peau du prépuce coulissa, dégageant le gland plus sombre, signe animal et visible de mon excitation. J’essayai en vain de calmer cette ardeur quand François se retourna. Nous étions nus tous les deux à quelques centimètres l’un de l’autre. Offerts, à égalité, aux regards de l’autre… à une seule différence… c’est que mon sexe s’était triomphalement dressé avec cette vigueur fulgurante et incontrôlée que la jeunesse arbore dans ses premiers émois.
— Inutile de te demander si tu apprécies la situation ? Tu as une très belle bite !
Dans sa bouche le mot « bite » me surprit. Nous évitions habituellement, dans nos conversations de collégiens – mais il y a si longtemps – d’utiliser des mots « vulgaires » quand on parlait de ce genre de chose. Nous étions loin des « teubes », « queues » « pines » et autres « mandrins » d’aujourd’hui.
Le mot de « bite » à vrai dire ne me choquait pas vraiment, c’était plutôt le fait que ce soit lui qui le prononce en enserrant mon sexe entre ses doigts et en enrobant mes « couilles » de l’autre main.
Ce premier contact me fit sursauter. Il sourit de la réaction et, se penchant à mon oreille, il m’invita à l’imiter.
— Prend la mienne, fais-moi bander. C’est trop bon.
J’avançai les mains et en imitant ses caresses, j’empoignai d’une main sa longue tige et glissai l’autre sous ses testicules. Il murmura doucement lorsque mes ...