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Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 17/01/2019, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, nonéro, portrait, Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe
... à faire durer le plaisir. Elle propose une tasse de café pour aider à réfléchir. Le temps pour le moka d’emplir la pièce de son arôme incomparable, on fait mine de réfléchir. Cela détend Alain et la tasse de café achève de le mettre plus à l’aise. Il accepte mieux sa situation. Et semble enfin y trouver lui aussi du piquant ! Il retrouve son statut de paon poseur et exhibitionniste. Il suffit de quelques minutes pour qu’il bande à nouveau. Une belle érection qui déclenche à nouveau des fous rires chez les voisines, fous rires qu’il me plaît de partager. On sent bien dans l’attitude du mec qu’il aurait préféré éviter ces bandaisons intempestives… Mais il fait maintenant contre mauvaise fortune bon cœur. Il ne reste plus qu’à trouver la solution pour son retour dans son appart. Les finances précaires d’Alain lui font éviter d’appeler un serrurier. Je suis un peu rassurée, j’aurais été mal à l’aise d’avoir fait cette blague si elle avait engendré des coûts. Une seule solution : les deux balcons sont contigus. Il suffit d’enjamber la balustrade de celui de madame Schmidt, de faire un grand pas et d’agripper la barrière du balcon d’Alain. C’est un petit risque parce qu’il y a quatre étages en dessous et une glissade ne pardonnerait pas, mais c’est un exercice finalement assez simple. Surtout pour un sportif aventurier comme Alain. Ce dernier se résout d’ailleurs à choisir cette solution. Il n’y en a pas d’autres ! Nous voilà tous les quatre sur le balcon de Mme Schmidt. ...
... Nous pouffons à nouveau à l’idée de voir Alain faire de l’équilibre tout nu et au vu de tout le quartier. Cela fait aussi sourire Alain. Un peu jaune, mais beau joueur maintenant. Le voilà de l’autre côté de la balustrade, son postérieur exposé à tous ceux qui lèveraient la tête. Il rejoint sans encombre son balcon et disparaît rapidement à l’intérieur. Je prends congé des voisines, et retrouve un exhibitionniste rhabillé sur le palier. Une semaine se passe. Je me rends chez lui pour la piqûre suivante. La porte est fermée. Il vient m’ouvrir. Toujours à poil. Je feins de m’étonner. La leçon n’a pas porté ? Il sourit. La séance se passe tout à fait naturellement excepté sa nudité, mais qui en devient finalement aussi naturelle. J’ai quand même envie de lui imposer une dernière petite saillie, un rien piquante. La séance suivante, j’arrive à son étage et je remarque que la porte n’est à nouveau pas fermée. Je sonne chez la voisine. Quand la maman ouvre, je mets le doigt sur la bouche. Elle fait un grand sourire. Je rentre et explique aux deux femmes. Nous ressortons et pénétrons discrètement dans l’appartement voisin. Je claque la porte suffisamment fort pour qu’Alain nous entende. Il déboule la bite bien droite et évidemment visible. À notre vue, à toutes les trois, il a le réflexe instinctif de cacher de ses mains son zob tendu. Puis il les retire d’un geste fataliste. Et c’est lui qui offre le café cette fois dans sa tenue préférée, celle d’Adam. C’est dans cette ...