Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
portrait,
Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe
... tenue qu’il me reçoit pour les dernières piqûres. C’est également avec ce costume qu’il reçoit maintenant ses deux voisines qui viennent le déranger pour l’une ou l’autre futilité : le sel ou l’ouvre-boîte par exemple. Quelques mois plus tard, je rencontre la maman voisine qui me raconte qu’Alain reçoit dans ce simple appareil d’autres voisines de l’immeuble, mais qu’une plainte pour attentat à la pudeur a été déposée par des voisins hommes qui ont trouvé malsaines ces attitudes. Il ne s’est cependant trouvé aucune femme qui avait eu l’occasion de bénéficier de la vue des attributs du beau mâle pour confirmer que leur pudeur avait été atteinte…
C’était finalement un exhibitionnisme qui convenait à tous…
Il m’est arrivé de rencontrer, toujours dans le cadre de mon travail, des exhibitionnismes plus particuliers.
Je me suis rendue plus d’une fois dans une famille pour soigner la mère qui était en assez mauvaise santé. Le rituel était bien huilé. Je sonnais à la porte. Un homme de la famille (il y avait le mari, le père du mari, le frère de la mère, un fils d’une trentaine d’années, un autre de vingt ans et le plus jeune de seize ans) venait m’ouvrir la porte. À poil. Il me guidait jusqu’à la cuisine où la mère était attablée. À côté d’elle, un ou deux autres hommes. À poil aussi. Et durant le soin qui se déroulait le plus souvent dans cette cuisine, les trois ou quatre autres mecs rappliquaient. À poil bien sûr. Nous nous retrouvions deux femmes, l’une soignant ...
... l’autre, entourées de six mecs le zizi à l’air.
Je dois bien avouer que la première fois où je me suis retrouvée dans cette situation, j’ai discrètement vérifié si ma petite bombonne lacrymogène était bien dans mon sac. Mais d’agressivité, il n’y eu point. Ces mecs se taisaient. Ils préparaient le café, sortaient un paquet de biscuits, se grattaient les couilles, mais ne disaient rien. Ce silence était pesant, et rendait l’atmosphère très particulière. Cela a duré deux mois. Je me suis souvent demandé si j’allais poursuivre ce travail, ou réagir d’une façon ou d’une autre. Mais en même temps, cette situation ne me déplaisait pas. C’était un peu le zoo et l’exhibition des grosses bébêtes, cependant je me rendais compte que je n’aurais pas voulu manquer une séance…
Une particularité encore dans cette famille. Les bites restaient calmes… ou pas… Le plus souvent, il n’y avait pas le moindre soupçon d’érection. Sauf deux fois. Ces deux fois, il y en a un qui s’est mis à bander. À chaque fois, je l’ai remarqué, et j’ai machinalement vérifié qu’il était le seul. Et puis, c’était au tour du deuxième, puis du troisième. Quand je terminai ma séance de soins, les six bandaient. Dix séances se sont passées dans un calme total, mais les deux autres ont été des séances où les mâles de la famille avaient décidés de hisser haut les couleurs. Par quel mécanisme gardaient-ils tous leur calme ? Par quel mécanisme arrivaient-ils, un par un, à faire monter leur engin ? Cela restera une question ...