1. Petit traité d'ethnologie amateur


    Datte: 17/01/2019, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, nonéro, portrait, Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe

    ... sa belle quéquette ! Je me sens devenir plus forte. Tu ne perds rien pour attendre mon gaillard ! Mais même avec son érection, il semble assez naturel. Il se promène dans l’appart son gros bâton devant lui.
    
    Puis son érection disparaît et c’est bien calme qu’il me raccompagne à la porte. C’est alors qu’il est à nouveau sur le palier que l’idée surgit. Sans qu’il ne s’en rende compte, je me rapproche de sa porte, et avant qu’il puisse réagir, je la ferme. Je la ferme ! Il se retrouve à poil sur son palier ! Sans ses clés évidemment, il n’a pas de poches ! Je n’en reviens pas moi-même. De mon audace. Et moins encore de la situation dans laquelle je plonge le bel Alain. Il n’en mène pas large non plus. Son zizi se fait tout riquiqui. Il m’engueule sans trop hausser la voix de peur sans doute d’ameuter les voisins. Me demande ce qu’on va faire. Je n’ai pas de réponse.
    
    — Vous n’avez pas laissé une clé quelque part ?
    — Non.
    — Il n’y a pas une fenêtre ouverte ?
    — Si, la porte de la terrasse est ouverte, mais on est au quatrième.
    — C’est qui les voisins ?
    — C’est deux femmes : Madame Schmidt et sa maman.
    
    (Voilà une nouvelle qu’elle est bonne. Deux nanas comme complices potentielles !)
    
    — Ben, on va sonner chez elles, elles auront peut-être une idée.
    — Ça va pas la tête. J’suis à poil moi !
    — Mais… À moi, ça vous dérange pas de montrer votre zob ?
    — Ben non, vous c’est pas la même chose !
    — Ah ! Et pourquoi ?
    
    Pas de réponse…
    
    — Bon, il me reste deux ...
    ... possibilités : je vous laisse. J’ai du travail moi ! Ou je vous aide à trouver une solution, et la meilleure c’est de sonner chez les voisines !
    
    Il réfléchit et puis admet. Je sonne. Et c’est une jeune femme ronde qui découvre sur le pas de sa porte son voisin tout nu et tout penaud ! D’abord interloquée, elle éclate de rire. Un rire assez bruyant qui attire sa maman une dame plus âgée encore énergique. Un rire communicatif aussi, parce que la maman l’adopte immédiatement. Je fais d’ailleurs de même. Et le bel Alain tout nu de se retrouver la risée de trois femmes au milieu des escaliers de son immeuble.
    
    Charitable, madame Schmidt nous propose de rentrer, entre deux hoquets. J’explique alors la situation, ne loupant aucun détail sur le caractère très exhibitionniste du voisin. Ce qui semble bien intéresser les voisines. La maman surtout qui louche avec insistance et gourmandise sur les morceaux de choix du voisin.
    
    Il aurait été simple de proposer au mâle nu une serviette de bain, une couverture ou un peignoir, mais madame Schmidt a le «bon goût » de n’en rien faire et de laisser Alain se débrouiller avec sa queue qui ballotte, visible par tous. Elle nous invite dans son salon et nous propose de nous asseoir. Il ne s’attendait pas à ça, Monsieur Stievenaert. Se retrouver à poil dans le salon de ses voisines, avec trois nanas qui le reluquent sans vergogne. Mais ça ne semble pas le réjouir outre mesure, lui qui semblait tant aimer ça tout à l’heure.
    
    Madame Schmidt est décidée ...
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