1. Esclave


    Datte: 16/01/2019, Catégories: fh, grossexe, humilié(e), contrainte, facial, pénétratio, sm, attache, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... dégénérée a de charmants atouts, et je crois que je vais me la faire…
    — Tout à l’heure, nous allons d’abord passer à table.
    
    De les entendre parler de nous comme d’un tas de viande ou de vulgaires jouets me révulsait ; réprimant la douleur de mes poignets, je parvins à me relever à genoux, prêt à me jeter sur l’une ou l’autre de ces harpies. Mais je n’en eus pas le temps ; à peine m’étais-je redressé que je reçus un troisième choc électrique qui me fit tomber de nouveau, cette fois à plat ventre. Et les femmes s’éloignèrent de moi tandis que je me tordais encore de douleur au sol.
    
    — Johan !
    
    C’était Alys. Elle s’était penchée vers moi pour m’aider à m’asseoir. Je plongeai mes yeux dépités dans les siens bouleversés. On n’échangea pas un mot, mais son regard suffit à me rasséréner.
    
    — Regardez, si c’est pas mignon… Notre belle Alys s’est éprise de ton dégénéré…
    — Je ne comprends pas comment tu peux tolérer ça !
    — Nous reparlerons de tout ça lorsque vous l’aurez essayé…
    — Hmmm ! J’en meurs d’envie ! Je suis déjà tout excitée !
    
    Et derrière la jolie rouquine, à quelques mètres, la forte femme avait relevé les pans de son espèce de laticlave et exhibait fièrement une grosse verge à demi gonflée.
    
    — Je doute que tu puisses lui mettre ça facilement, ma chère…
    — Hmmm, nous verrons cela… En attendant, puisqu’il paraît qu’il baise bien…
    — Bon, tant pis, nous mangerons après, alors… Alys, prépare-le.
    
    Ha ! Je me marrais intérieurement. Si ces crevures croyaient ...
    ... que j’allais bander pour elles… Même avec tout le concours de ma superbe compagne, il ne se passerait rien ! De toute façon, on avait baisé tout au plus deux heures auparavant. Mais Alys se releva et s’éloigna, sous mes yeux inquiets et les regards concupiscents des autres. Dame Mazela se branlait carrément en contemplant alternativement mon entrejambe et les fesses de la jolie rouquine. Celle-ci fit seulement quelques pas pour aller prendre dans un placard une petite fiole, et revint s’agenouiller près de moi.
    
    — Bois ça et tu ne te souviendras de rien, chuchota-t-elle.
    — Qu’est-ce que c’est ?
    
    Elle avait presque les larmes aux yeux.
    
    — Une potion de vigueur.
    — Un aphrodisiaque ? C’est avec ça qu’elles…
    — Bois ça ! cria soudain Heline en relevant ostensiblement le boîtier contrôlant les décharges électriques.
    
    Alys l’ouvrit et fit mine de la porter à ma bouche.
    
    — À tout à l’heure… me lança-t-elle du bout des lèvres en versant le produit entre les miennes.
    
    C’était tiède, sucré, plutôt agréable. Pourquoi m’avait-elle dit ça ? Elle se releva et s’éloigna pour reposer la fiole vide là où elle l’avait prise. Une étrange et forte chaleur m’envahissait ; l’estomac me brûlait presque et j’avais l’impression de sentir le liquide que j’avais bu se répandre rapidement dans mes entrailles. Et je me mis soudain à trembler de tous mes membres, alors que j’avais de plus en plus chaud. Alys me regardait, apparemment inquiète. Raaah ! Ses seins ! Ses fesses ! Je désirais tout ...
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