1. Marion


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, init, fantastiqu, contes, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... rien.
    
    « Me laisserais-tu les mettre pour toi ? relit-elle. . »Elle en trembla mais elle se sentit également très excitée à cette idée.« Je te promets de ne rien te faire d’autre, juste te les mettre. »
    
    Cela la rassura, ainsi que le fait qu’il semble lui donner totalement le choix. Par contre, mettre le bandeau était un vrai obstacle. Si en plus, il lui avait demandé d’être attachée, elle aurait refusé tout net. Là, il lui laissait sa liberté de mouvement. S’il faisait plus que prévu, elle pourrait réagir. Marion en avait vraiment assez de son petit rituel et décida de tenter le tout pour le tout. Elle retira son sous-vêtement, s’allongea en gardant d’abord les jambes serrées puis se banda elle-même les yeux, sans tricher, car elle n’en voyait pas l’intérêt. Si c’était pour tricher, autant ne pas jouer ! Elle inspira plusieurs fois avant d’écarter doucement les jambes. Elle tremblait autant de peur que d’excitation.
    
    À peine avait-elle atteint un écartement idéal qu’elle sentit une première boule être posée sur son entrejambe. Il avait été sacrément rapide, d’autant que le jouet était encore dans le tiroir, mais également particulièrement silencieux, car elle n’avait strictement rien entendu. Les doigts qui tenaient la première rondeur ne firent qu’effleurer son intimité : agir autrement aurait été impossible. Un doigt entra afin de pousser légèrement la première boule mais ne fit rien d’inutile. La seconde rondeur entra sans difficulté tant Marion était excitée. Une ...
    ... fois le jouet bien en place, il n’y eut plus rien.
    
    Elle attendit quelques secondes puis ôta son bandeau. Elle était seule. Si elle n’avait pas senti une présence dans son ventre, elle aurait cru avoir rêvé. Il n’avait pas menti. Juste les mettre, rien d’autre. Il avait tenu parole. Elle avait été offerte devant lui et il n’avait rien fait. Lui ? Pensa Marion. Oui, décidément, elle ne parvenait pas à imaginer qu’il puisse ne pas s’agir d’un homme. Marion se leva, tremblante de désir et s’habilla. Elle ne trouva aucun mot, ni dans la cuisine lorsqu’elle prit son petit déjeuner, ni sur la porte lorsqu’elle sortit faire les courses.
    
    Les tremblements légers de la voiture et plus forts sur les cahots lui envoyèrent des décharges de plaisir dont Marion se délecta. Cela faisait longtemps que son ventre n’y avait pas eu droit et il manifestait ouvertement son plaisir. Marion sentait que sa culotte était déjà trempée, à seulement neuf heures du matin. Elle fit ses courses en souriant, sursautant au moindre mouvement dans son abdomen. Les rangements des courses puis le passage d’aspirateur et le rangement (et donc les différentes positions que cela obligeait à prendre) finirent de l’exciter. Cependant, lorsqu’elle avait le ventre plein, elle se refusait à le vider avant la fin de la journée. Si son ventre voulait plus, il devait attendre le soir et l’attente devenait un plaisir en soi. Elle déjeuna puis passa plus de trois heures à faire les comptes de la boutique. Lorsqu’elle eut ...
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