Marion
Datte: 16/02/2018,
Catégories:
fh,
init,
fantastiqu,
contes,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... ressentit vraiment la morsure du froid sur son intimité nue. Les contractions de cette partie de son corps lié à cette condition de température lui firent encore plus ressentir la présence des rondeurs dans son abdomen. Elle passa la journée à faire attention à s’accroupir et non à se pencher (elle ne voulait pas que les clients puissent voir quoi que ce soit), et à chaque mouvement, les rondeurs descendaient, l’obligeant à contracter ses muscles pour les faire remonter, leur faisant ainsi faire des allers et retours dans son ventre, l’électrisant à chaque passage. La journée fut donc pleine de sensations fortes, tant physiques que psychologiques.
Le lendemain matin, Marion eut la surprise de se réveiller le haut du corps non protégé par des couvertures. Ne dormant que vêtue d’une culotte, elle offrait donc à quiconque était là une vue sur sa sublime poitrine. Ce qui la surprit avant tout fut de ne pas avoir froid, elle qui était plutôt frileuse. Elle remarqua qu’il faisait vraiment chaud dans la chambre. Elle vérifia le chauffage : il était au maximum. Elle soupira. C’était évident que l’inconnu était à l’origine de cela. Elle lança :
— Je suis heureuse que mon corps vous plaise, mais je ne gagne pas des milles et des cents. Chauffer de cette manière va me ruiner à la longue !
Sur ces mots, elle partit s’habiller pour découvrir que la robe proposée était plus courte que la veille. Le lendemain matin, elle se réveilla sans aucune couverture sur elle et la chaleur ...
... dans la pièce était à la limite du supportable. Après avoir reçu ses rondeurs, elle se leva et découvrit une carte posée sur un ravissant petit coffret en bois.
« Je dois bien avouer que c’est un caprice de ma part. Si tu veux que j’arrête, il n’y a aucun souci. Si cela ne te dérange pas, comme tu sembles me l’avoir dit hier, alors tu trouveras de l’argent dans le coffret pour payer le chauffage de cette pièce. »
Marion souleva le couvercle en bois et trouva quelques billets à l’intérieur.
— Pour quelqu’un de non averti, cela passerait vraiment pour un paiement en échange de mon corps. Pas d’inquiétude, je ne le prends pas ainsi. Continuez si cela vous fait plaisir. Ça ne me dérange pas. Vous me voyez tout le temps nue, je ne pensais pas que vous en vouliez encore plus. Vous êtes insatiable !
Marion s’habilla d’une robe plus courte que la veille et partit travailler. Les jours qui suivirent, les robes devinrent de plus en plus courtes, sous le regard coquin de Marion. Samedi, la robe n’avait plus de manches du tout, le décolleté était incendiaire et la robe arrivait à la limite du haut des bas. Le sourire M. Paul s’élargissait à chaque rencontre, alors que la quantité de tissu porté par la jeune femme diminuait. Il insistait plus fortement pour que Marion lui raconte son aventure mais Marion niait tout en bloc, prétextant qu’elle avait décidé seule de changer de mode vestimentaire, mensonge auquel M. Paul ne crut pas une seule seconde. Le dimanche, Marion eut peur de ...