1. Marion


    Datte: 16/02/2018, Catégories: fh, init, fantastiqu, contes, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... Elle avait adoré se faire habiller par quelqu’un d’autre, surtout des vêtements aussi coquins. L’inconnu, d’une caresse sur la joue, lui fit comprendre qu’il avait terminé. Marion compta jusqu’à cinq et se retrouva seule dans la salle de bain.
    
    Elle passa une journée étrange. Vêtue d’une robe, sans sous-vêtement et l’intimité trempée par la présence de ses rondeurs en profondeur, elle sentait régulièrement son ventre se contracter et reçut plusieurs décharges de plaisir qu’elle réprima pour ne rien montrer devant ses clients ou M. Paul. Le lendemain, Marion n’eut à nouveau pas le droit de choisir ses vêtements et il lui offrit une nouvelle robe. Dans son placard, les anciennes robes prenaient place dans la penderie, si bien que le quatrième jour, lorsque l’inconnu ne lui proposa aucun nouveau vêtement, elle remit la robe bleue. Le lundi 24 septembre, ce fut le ventre vide qu’elle alla chercher de quoi s’habiller. Elle ne trouva rien dans ses placards. Même les robes avaient disparu. Elle se rendit donc dans la salle de bain et y trouva un nécessaire complet de rasage et d’épilation. Marion ne comprit pas. Elle s’épilait régulièrement les jambes et les aisselles. Que pouvait-il désirer de plus ? Elle prit la carte posée sur le rebord du lavabo et lut :
    
    « Goûte au plaisir de lèvres douces et rasées. Tu ne pourras plus t’en passer. »
    
    Il était inutile d’en rajouter. Marion regarda son entrejambe recouvert de poils et soupira. Si cela pouvait lui faire plaisir. Puis, elle ...
    ... relut le message. Il l’avait tourné de telle manière que c’était son plaisir à elle qui en serait amélioré. Elle sourit. Il avait le don de lui donner envie d’exécuter ses ordres. Elle obéit donc et fut bientôt aussi nue qu’une petite fille. Elle caressa son intimité et sa douceur la fit frémir. Il n’avait pas menti. C’était très agréable. Une fois nette, elle retourna devant le placard, dans lequel les robes avaient réapparues. Elle choisit la robe rouge et les bas allant avec. Elle chaussa les sandales fines, belles, mais très confortables qu’il lui avait fournies puis partit faire les courses. Pendant toute la journée, le vent sur son bas-ventre la fit sourire, de même que de se savoir ainsi offerte sans que personne ne puisse le soupçonner l’excita au plus haut point. Elle passa une agréable journée, malgré le ménage et les comptes qui, malheureusement, étaient une obligation.
    
    Le lendemain, les robes avaient à nouveau disparu du placard. Marion fit la moue et se rasa de près. Lorsqu’elle revint, une seule robe était présente : une nouvelle. Marion grimaça en la regardant. La jupe, cette fois, s’arrêtait juste en dessous des genoux et non aux chevilles, le décolleté était plus accentué et les manches s’arrêtaient à mi-bras. Avec était fourni un gilet et des bas, afin de ne pas avoir trop froid dans cet hiver frais. Marion commençait à voir où il comptait l’emmener. Bien décidée à aller jusqu’au bout du jeu, elle passa les vêtements. En allant travailler ce jour là, elle ...
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