Direction chez lui
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
hh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Calingiton, Source: Revebebe
... J’imagine déjà ce qu’il va bientôt serrer contre lui, avec ardeur et envie. Je le sens et j’ai le nez pour ça.
— Si, bien sûr : j’ai des voisins, comme tout le monde. Mais tu vas voir, chez moi, on ne risque pas de nous surprendre.
Les dernières paroles de cet homme m’effraient un peu. Que veut-il dire à propos de sa demeure ? À quoi je vais m’attendre là-bas ? Je vois bien que son attitude a changée avec moi depuis que j’ai grimpé dans sa voiture. Déjà, sa main sur mon genou qu’il caresse délicatement m’en dit suffisamment sur ses intentions. C’est clair : je suis tombé sur un vieux pédéraste, et sa seule idée est de me baiser dès qu’on sera chez lui. Je me rends compte que je vais chez lui sans même avoir prévenu maman. Et si ce type a l’intention de me séquestrer chez lui ? À l’allure où le 4x4 défile à travers la garrigue vers une destination inconnue, je n’ai plus aucune possibilité de fuir. C’est donc mort d’inquiétude que je me résigne à subir ce que j’ai bien cherché en jouant les petites putes ce matin.
Je le sens tendu à mes côtés. Il n’a rien dit quand ma main s’est posée sur son genou, pas plus lorsque j’ai commencé à le caresser, et encore moins quand ma main monte sur sa cuisse nue. Je le rassure tout de suite sur mes intentions, ne voulant surtout pas l’affoler :
— Détends-toi. Je ne te veux aucun mal. Bien au contraire.
Je continue encore :
— Tu vas voir ; tu seras très bien chez moi. Peut-être me réclameras-tu de rester vivre avec moi ...
... ?
Puis, m’inquiétant quand même, car il a quand même sa mère qui va peut être l’attendre :
— Tu ne vis pas tout seul ? Tu veux prévenir quelqu’un ? Je ne veux pas qu’on s’inquiète de ton absence, tu comprends ?
Ma main remonte plus haut sur sa cuisse, jusqu’à la limite de son mini-short.
Je sens sa grosse main courir sur ma cuisse nue et pas mal bronzée déjà, à la lisière maintenant de mon micro-short remonté très haut, presque aux plis de l’aine, maintenant que je suis assis au fond du siège en cuir. Ses attouchements, de plus en plus évidents, provoquent chez moi une sensation terriblement excitante, et c’est tout naturellement que mon jeune membre se met à gonfler dans mon short trop étroit, limite vulgaire.Je me sens rassuré par ses propos. Je lève le nez vers lui pour lui répondre :— Je n’ai que ma mère et je ne voudrais pas qu’elle s’inquiète, vous comprenez ? Je pourrais lui dire que je suis chez vous. Si vous êtes d’accord, bien sûr. On pourrait raconter que vous m’avez proposé un travail pour me faire de l’argent de poche.J’essaie de trouver une explication plausible pour justifier qu’il me garde chez lui. Tout en réfléchissant, je laisse sa main de plus en plus aventureuse se promener sur mes cuisses nues. A-t-il l’intention de me faire vivre chez lui ? Que je vive peut-être sous sa dépendance totale ? Je n’ose y croire… Je suis un garçon de 18 ans, et je suis libre maintenant de mener mon existence comme je l’entends. Mais il ne peut m’entretenir sans ...