Direction chez lui
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
hh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Calingiton, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent : Axel a rencontré fortuitement un vieux sexagénaire au Cap d’Agde.Séduit, il accepte de le suivre chez lui.
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Je lui emboîte le pas, mais pendant qu’il file par la sortie, je passe à la caisse avec le concombre. Je suis dévisagé par la vendeuse qui me toise avec mépris. Je suis très mal à l’aise et c’est presque en courant que je rejoins l’inconnu devant son gros 4x4, un Porsche Cayenne flambant neuf. Mon short me rentre de plus en plus dans le cul et je n’ai pas conscience de l’exhibition indécente avec laquelle je m’affiche dehors.— Waouh, la voiture !Je suis impressionné par le fric que doit avoir ce type en découvrant sa voiture de luxe.
Je le regarde sortir du magasin et se précipiter vers moi. Il n’est pas une fille, mais il en a l’allure avec sa démarche féminine, juché sur ses hautes bottes roses de femme.
Il se colle presque contre moi en jetant des regards inquiets autour de lui, manifestement pas très à l’aise de s’afficher avec un vieux comme moi. Je m’en fiche, et je me mets à le mater avec toute l’arrogance du type fortuné devant cette petite salope qui s’affiche dans ce micro-short vulgaire au possible.
— Oui, c’est un Porsche Cayenne S. Il te plaît ?
Je sens bien qu’il est ébloui par le fric que je lui étale avec insolence.
— Oh oui, il est pas mal.Je remarque encore son regard sur mon petit cul serré dans mon short. C’est évident que je l’excite, cela se voit.
— Je voudrais ...
... qu’on y aille ; je n’aime pas trop tous ces gens qui nous matent.
— Oui, pas de problème. On va vite aller chez moi, on sera bien plus tranquille.
On monte à bord et je démarre pour m’éloigner du magasin et de tous ces voyeurs qui s’intéressent un peu trop au curieux couple que nous formons, ce jeune blondinet et moi. Inutile de chercher à provoquer.
— Tu sais, moi aussi, je préfère la discrétion.
Je pose ma main sur son genou pour le rassurer.
— Mais ne crains rien : chez moi, tu ne croiseras pas de regards méchants. On sera bien tous les deux, tu verras.
— Oui, oui, je préfère ; les gens nous regardaient trop. Et je ne veux pas que vous ayez d’ennuis à cause de moi.Je pense évidemment à mon jeune âge par rapport à lui, et tout ce que l’on raconte sur les pédophiles. Assis à côté de lui à l’avant, je sens sa main sur mon genou, et un drôle de frisson me parcourt le corps. Je suis troublé par ce qui m’arrive. J’ai gardé mon concombre que je serre contre mon ventre et je regarde la route, sans trop penser à ce qui va m’arriver avec cethomme qui pourrait largement avoir l’âge de mon grand-père.
— Vous n’avez pas de voisins, Monsieur ?
J’ai senti un très léger sursaut chez le garçon quand ma main s’est posée sur son genou. Un sursaut suivi d’un frisson qui me confirme qu’il va être bien docile. Et s’il ne se considère pas comme une fille, il en a, en tout cas, toutes les apparences. La façon avec laquelle il serre le concombre contre son ventre m’excite trop. ...