1. Les amants de Lady Schneckerley (4)


    Datte: 16/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... mer.
    
    Le troisième marin me pria de m’allonger au sol et me prit de façon plus conventionnelle. Venant après deux garçons bien membrés quoique rapides, il s’y prit de sorte qu’il me fit connaître la jouissance. Je m’accrochai à ses larges épaules et je m’enivrai de son dos musculeux. Comme le premier il préféra jouir en moi et se retira, comme les autres, dès qu’il eût fini, en prenant toutefois le soin de me remercier respectueusement.
    
    Je restai seule un moment, ravie de ce qu’il venait de se passer, et caressant un sein d’une main et ma vulve de l’autre.
    
    Ma vieille Ann entra. Ses cheveux étaient défaits ses habits en désordre, dévoilant ses lourdes et tombantes mamelles.
    
    - Ann, ma chère Ann mon Dieu, que vous ont-ils fait ?
    
    - Ô Madame, si vous saviez, si vous saviez !
    
    - Il ne vous ont pas... ?
    
    - Ô si Madame, Si, le vieux marin Oldick, il m’a prise Madame, prise...
    
    - Il vous a forcée ?
    
    - Ô non Madame, non, il m’a séduite... un vrai galant homme....et c’était... Ô comme je comprends Madame... Jamais je n’avais Madame... et à mon âge... Ô, Madame...
    
    - Eh bien !
    
    - Madame est fâchée ?
    
    - Bien sûr que non ! Au contraire.
    
    - Et Madame m’autorise...
    
    - A recommencer ?
    
    - Ouiiiii !
    
    - Et bien si le vieux marin ...
    ... le désire....
    
    - Ô, je crois bien Milady, je crois bien... Je crois qu’il me trouve à son goût. Et il est très au mien.
    
    Les jours suivants furent très occupés. Si jamais ordre fut obéi avec diligence, ce fut celui que reçut Jenkins. Il affecta à chacun son tour de garde auprès de moi et chacun fut ponctuel à son office.
    
    Les hommes vinrent tous avec déférence, certains avec gène, la plupart avec timidité. Nous étions convenus de les faire venir trois par trois et, souvent, ils enlevaient leur bonnet en entrant dans ma cabine, le roulant entre leurs doigts et s’inclinant en ne sachant que faire. Je fus bien souvent obligée de prendre l’initiative.
    
    Ils ne s’attardaient jamais longtemps et il m’arriva d’en passer douze à l’heure. Certains préféraient la bouche, d’autre la chatte, d’autres les seins ou le cul. Peu alternèrent.
    
    En fait, la rapidité avec laquelle le vent s’était levé après mon exhibition les avait marqués et tous pensaient plus ou moins que j’étais de nature à influencer les éléments, à tout le moins que les dieux de la mer veillaient sur moi. Aucun n’aurait pris le risque de me contrarier de peur de s’attirer le mauvais œil
    
    Enfin nous approchâmes de notre escale et nous passâmes la dernière nuit en mer...
    
    A suivre 
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