1. Les amants de Lady Schneckerley (4)


    Datte: 16/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Mon beau-père m’enfoutra avant le départ, à plusieurs reprises mais je ne fus point grosse de ses œuvres
    
    Nous embarquâmes sur un fier vaisseau avec sept officiers plus quatre élèves et plus de 230 homes d’équipages.
    
    Les matelots sont superstitieux, c’est bien connu et, à première vue, deux femmes à bord, c’était porteur de malheur.
    
    Au bout de trois jours de mer, il devint évident que le capitaine et mon époux avaient trouvé des affinités communes, partagées avec Arthur, au grand soulagement des élèves apparemment. Quant à moi, dès le premiers soirs j’ouvris ma cabine à un jeune sous-officier en lui faisant bien comprendre qu’il n’aurait pas d’exclusive. Très rapidement, tous les officiers prirent leur quart auprès de moi, chacun sa nuit. Et il me fut même possible de dépuceler les deux novices qui ne l’avaient pas encore été par leur capitaine, étant nouveaux sur cet embarquement.
    
    Dans les premiers temps, les hommes se conduisirent en gentlemen si tant est qu’un homme nu occupé à besogner une dame puisse être un gentleman, mais ils n’osaient trop aller dans les derniers outrages ce que, pourtant, je désirai fort.
    
    Il fallut donc que je m’applique de la bouche et de toute autre partie de mon corps pour qu’il soient moins sages dans leur tenue et, pour tout dire, qu’ils entreprissent de me posséder autrement qu’allongés sur moi et par le con.
    
    Il ne se passa pas trop de temps non plus pour que certains aient l’idée de venir à deux et, le bouche à oreille ...
    ... faisant le reste, à trois ou à quatre, ce qui permettait un roulement beaucoup plus fréquent.
    
    Un navire étant un espace relativement confiné, et les mousses étant particulièrement bavards, l’équipage sut bientôt ce qu’il se passait dans le carré des officiers et mon mari, d’ailleurs plus entreprenant que moi, étendit le cercle de ses relations à d’autres membres de l’équipage que le capitaine, tout en essayant de conserver une certaine discrétion.
    
    Mais la discipline régnait à bord et même si quelques regards entendus me saluaient quand je faisais promenade sur le château arrière, le respect dû à mon rang empêchait toute privauté.
    
    Les premières semaines nous eûmes bonne mer bon vent. Mais, peu après avoir passé la ligne, je fus réveillé une nuit par la touffeur et la sensation d’immobilité du navire.
    
    Un de mes amants de la nuit, dormant sur un matelas de fortune au pied de ma couche trop petite pour s’y étendre à deux pour le sommeil mais suffisante pour s’y ébattre, m’entendit me lever. Je l’interrogeai. Il s’en fut aux nouvelles.
    
    Nous étions complètement encalminés m’expliqua-t-il... et puisque nous étions réveillés, il en profita pour me grimper en levrette rapidement afin de pouvoir dormir encore un peu avant de reprendre son quart. Ma servante, habitués à ces ébats, ronflait tranquillement dans sa couche.
    
    Au lever, je me rendis sur le pont.
    
    Jamais je n’avais vu une mer aussi calme. On eût dit un lac. Les voiles pendaient, minables. Il n’y avait pas un ...
«1234...»