1. Sortie de nuit


    Datte: 12/01/2019, Catégories: fh, inconnu, Oral pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... des preuves de son agression. Conservez-les soigneusement. Et toi le connard, tu vas la raccompagner chez elle, dans cette tenue. Mademoiselle, combien faut-il de temps pour rentrer chez vous ? — Un quart d’heure environ.
    — Bien, alors tu la ramènes chez elle. Elle m’appelle à ton portable, à son arrivée, en m’indiquant comment s’est déroulé le parcours. Je chronomètre. Je te laisse le même temps pour revenir. Sinon, j’ai tes affaires, et surtout tes coordonnées. Je te retrouverai et te donnerai une véritable correction. Compris, d’accord ?
    — Oui, je vais la raccompagner.
    — Au revoir, Mademoiselle, excusez-moi pour ce triste spectacle mais je ne pouvais pas vous laisser violer. Téléphonez-moi quand vous serez saine et sauve. Oubliez cet incident si vous le pouvez et ne fréquentez plus ce triste individu.
    
    Ils sont partis en silence, lui la tête basse, ridicule en caleçon, elle ne sachant trop que penser. J’entends la voiture démarrer. Sur une feuille, je relève les coordonnées du mec. Ça doit être un gosse de riche : il y a beaucoup de fric dans son portefeuille.
    
    Dix minutes plus tard, le téléphone sonne.
    
    — Allô, Monsieur, c’est Audrey, celle que vous avez défendue. Je viens d’arriver chez moi, je suis dans ma chambre.
    — Il ne vous a rien fait ?
    — Non, il ne m’a même pas parlé.
    — C’est très bien. Couchez-vous et dormez. J’ajoute juste un mot : vous êtes très jolie, et si n’avais pas été si naïf, je l’aurais aidé pour vous tenir et j’aurais connu, j’en suis ...
    ... sûr, un très grand plaisir. Mais soyez tranquille, je ne fais jamais ça. Simplement un conseil : transférez les photos sur votre ordinateur, ce sera votre protection. Au revoir, Mademoiselle Audrey.
    — Au revoir Monsieur et… merci.
    
    C’est vrai, elle est très jolie et je me la serais bien faite. Assez grande, mince, sa poitrine est petite mais ferme d’après ce que j’ai pu apercevoir par son tee-shirt et son soutif déchirés. Sa mini-jupe laissait entrevoir des jambes fines et musclées. Mais je n’ai pas pu vraiment apprécier son visage. La terreur, le rimmel qui avait coulé ne l’avantageaient pas.
    
    Un bruit de moteur. Mon individu qui revient. J’éteins la lampe, me planque dans la pièce d’à côté. Il entre et me cherche. Je surgis derrière lui en l’éblouissant.
    
    — Ça va, tu es de retour dans les temps. Reprends toutes tes affaires, je ne suis pas un voleur, tu peux compter ton fric. Tu as beau être costaud, tu ne sais pas te battre, tu n’as jamais connu la vraie bagarre où tous les coups sont permis. Maintenant, deux choses : un, tu laisses Audrey tranquille, tu ne lui parles plus. Deux, tu oublies tout ce qui vient de se passer. Sinon, je sais où te trouver et je viendrai t’arranger. Compris ?
    — Oui, j’ai compris.
    — Allez, pars ; bonne nuit.
    
    Rhabillé, ayant ramassé toutes ses affaires, il sort sans bruit. Avec sa voiture, il démarre doucement. Je vais me recoucher et essayer de dormir. Tiens, il y a quelque chose qui brille par terre. Merde ! C’est un beau collier en or ...
«1234...7»