1. Sortie de nuit


    Datte: 12/01/2019, Catégories: fh, inconnu, Oral pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... m’en charge.
    — Laisse-moi ! Tu me fais mal ! Tu déchires mes fringues ! Au secours ! crie la fille.
    — Tu peux toujours gueuler, personne ne t’entendra. Je vais te baiser, et même t’enculer.
    — Non ! Lâche-moi, au secours !
    — Que dalle, tu vas y passer comme les autres, tu vas en prendre plein le cul.
    
    Ça va, ce ne sont pas des voleurs ; juste un couple, si l’on peut dire. La fille n’est pas d’accord, c’est un viol ! Il est temps d’intervenir. Un coup de ma puissante lampe dans leur direction.
    
    — Il me semble qu’elle t’a dit de la laisser !
    
    Surpris, le gars lâche la fille, regarde en direction du faisceau.
    
    — Tu crois pas que tu me fais peur, connard. Baisse ta lampe et tu vas voir comment tu vas dérouiller, rétorque le gars.
    — Non, on ne va pas se battre, je n’aime pas ça. Tu la laisses et tout s’arrange.
    — Pas se battre ! Tu n’es qu’une lopette. Tu vas voir la dérouillée que tu vas prendre…
    — Non, moi je ne me bats pas, sauf en cas de légitime défense.
    
    Le gars s’avance, lance un coup de poing en direction de la lampe, me touche légèrement à l’épaule.
    
    — Tu m’as attaqué, donc je suis dans le cas de la légitime défense. Tant pis pour toi.
    
    Je pose la lampe sur le sol, le faisceau braqué dans sa direction. Il s’avance et lance un direct vraiment fort qui aurait dû me mettre KO. Heureusement, je pratique suffisamment l’esquive ; son coup passe à côté et c’est lui qui vient se planter la gueule sur mon poing. Choqué, il recule. Je lui décroche une savate ...
    ... dans les bijoux de famille. Il se plie en deux et je l’accompagne, la main sur sa nuque à percuter mon genou. Son nez a dû dérouiller. Je le termine par un coup de pied dans les reins. Je me suis suffisamment bagarré dans la ZUP pour savoir me défendre.
    
    — Ça te suffit comme ça, ou on continue et je te démolis ta jolie petite gueule ? N’ayez pas peur, Mademoiselle, je ne vous veux pas de mal. Et je ne l’aurais jamais touché s’il ne m’avait pas attaqué. Je ne peux pas supporter que l’on abuse des femmes. Vous allez bien ?
    — Euh, oui, Monsieur, dit-elle d’une voix apeurée.
    — Allez, toi le connard, relève-toi sinon je te finis.
    
    Difficilement, une main sur ses parties génitales, il se redresse. Son nez saigne ; je l’ai arrangé.
    
    — Maintenant, tu vides toutes tes poches devant toi. Tu quittes ta montre, tes baskets et ton froc. Dépêche-toi sinon je remets ça !
    
    Il obéit et commence à se débarrasser de tout. J’ai repris la lampe et dirige le faisceau vers lui. Ils n’ont pas vu mon visage. La fille est tétanisée contre le mur.
    
    — Pardon, Mademoiselle ; vous avez un téléphone portable ?
    — Oui.
    — Il peut prendre des photos ?
    — Oui.
    — Eh bien, photographiez cet individu dans cette tenue.
    
    Elle obéit et prend plusieurs clichés.
    
    — Je m’excuse, mais passez-moi votre téléphone. Je vais vous photographier aussi.
    
    Tremblante, elle me passe l’appareil. Je la prends trois fois. Puis je lui rends son engin.
    
    — Je ne veux pas vous le voler ; simplement que vous possédiez ...
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