Claire, ou les intentions troubles
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybabaorum, Source: Literotica
... Elle a de l'expérience, la petite pute, c'est clair! Je décharge comme jamais. Je la félicite et lui suggère de changer de métier: elle a des talents qui lui rapporteraient beaucoup.
Claire achève son récit et je sors comme d'un rêve éveillé, muet et tout honteux d'avoir presque vécu ces infâmes événements.
Elle me demande de rester avec elle. J'appelle à la maison, m'invente un collègue de travail qui m'invite à coucher chez lui.
Claire et moi nous serrons bien fort. Les heures passent. Elle ne sait pas quoi faire. Elle tremble de revoir son patron. Pire : de retrouver son copain. Rien ne sera plus pareil.
Son corps chaud me chavire. Je lui touche le bras, le caresse un peu. Elle s'éveille à moitié, m'enserre dans ses bras puissants. Nous nous embrassons, roulons à terre. Chacun cherche maladroitement à déshabiller l'autre . Elle m'entraîne dans la chambre du fond où le lit nous accueille et faisons l'amour, lentement, tendrement.
Après l'amour, elle sanglote un peu, puis sa respiration s'apaise.
Je me réveille en l'entendant chantonner aux toilettes. Je la rejoins et elle me dit qu'elle a réfléchi. Elle va essayer de mettre tout ça de côté dansa tête, de rester le plus loin possible de ce sale individu.
- Je vais trouver un autre travail. Je...
Claire insiste pour affronter seule son patron qui viendra la chercher dans un instant. Moi, je dois partir. Je me résigne et gagne mon lieu de travail.
De retour le lendemain après-midi, alors que ...
... j'approche, elle répond sans enthousiasme apparent. Quelque chose cloche.
Claire affiche un air abattu que je ne lui reconnais pas. Je l'interroge du regard, l'estomac noué.
- Tu ne peux rester qu'un instant : la police s'en vient.
- Quoi?!
- Dès que monsieur Rolland, ce vieux salaud, dès qu'il se présente, ils mettent le grappin dessus.
À voix basse, elle m'explique qu'hier après-mid, il est venu, comme à son habitude, comme s'il ne s'était rien passé la veille. À un moment donné, il l'a poussée dans la caisse du camion, et le cauchemar a recommencé. Il l'a forcée à s'étendre par terre (il est petit, mais vachement costaud, le saligot!) Il est monté sur elle, a retroussé sa robe... J'admire sa maîtrise d'elle-même quand elle m'explique. J'écoute, tendu à l'extrême, J'Y SUIS MOI-MÊME, JE SUIS DANS LA PEAU DE LA BÊTE. Je baisse sa culotte, c'est difficile parce qu'elle s'agite, la salope! Je sors mon engin, et je la pénètre d'un coup sec, jusqu'au fond. Je prends mon plaisir...
- Pauvre de toi! réussis-je à articuler et je passe m'asseoir à ses côtés. Mais c'est un viol! Pourquoi la police ne l'a pas déjà jeté en prison?
Elle m'explique que je suis un malin, un vrai truand. J'ai réussi à leur échapper. Mais les policiers se cachent partout autour du kiosque pour me tendre un piège.
- Tu as dû voir plusieurs voitures de police sur ton chemin? me demande-t-elle.
- Euh... Je n'ai pas porté attention..
- C'est vrai, le caporal.. le lieutenant plutôt, il m'a ...