1. Claire, ou les intentions troubles


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybabaorum, Source: Literotica

    ... larmes:
    
    - Il est revenu à la fin de la journée, comme d'habitude. Tout était rangé, le magasin fermé. Au moment de partir, il m'a dit de le rejoindre dans la caisse du camion... Ce matin, il avait écouté notre conversation. Il sait ce que nous avons fait, il sait que j'ai peur qu'Aurélien (mon chum s'appelle Aurélien), qu'il l'apprenne.
    
    - Il ne peut pas faire ça!
    
    - Il menace de le trouver à son retour, et de tout lui déballer. "Ce ne devrait pas être trop difficile à trouver, quelqu'un avec un nom pareil!" Ce sont ses paroles!
    
    - Mais il est dégueulasse!
    
    - À moins... À moins que je lui fasse quelques faveurs. Là, tout de suite, dans le camion.
    
    - Et...?
    
    - J'ai paniqué! Monsieur Rolland a dit qu'il ne me toucherait pas. Il voulait "voir", voilà tout.
    
    Je n'en crois pas mes oreilles. Il lui a ordonné de se déboutonner, bien lentement. De laisser tomber sa robe. Il a fallu qu'elle tourne sur elle-même, toujours en sous-vêtements. Il la complimentait sur ses formes sensuelles, surtout sa gorge si affriolante.
    
    Claire a cru qu'il en resterait là. Elle a ramassé sa robe, mais il a commandé très sèchement de continuer. Il était là comme un pacha vautré sur les boîtes vides.
    
    Moi, je l'écoute, sans comprendre pourquoi elle me décrit tout par le menu. C'est comme si moi-même je suis témoin de la scène et je vois ce que voit monsieur Rolland. JE suis dans le camion et JE m'entends sussurer à Claire de retirer son soutien-gorge. Elle hésite, je hausse le ...
    ... ton.
    
    Elle se retourne. Ses mains tremblent et peinent à dégrafer le délicat sous-vêtement de dentelles. Ma gorge s'assèche. Lentement elle se retourne. ..
    
    - Enlève tes mains, que je voie!
    
    J'ai crié. Ses yeux barbouillés de maquillage et de larmes m'implorent de lui faire grâce. Je ne fléchis pas et découvre deux superbes mamelons foncés sur une peau très pâle. Ses seins hauts et fermes pointent vers moi. Je me lève, tout excité, avec l'envie de les caresser, de les masser, de les téter. Mais je me contrôle et exige le reste. Oui oui! Tout! Elle se penche...
    
    Tandis qu'elle retire sa culotte , je découvre entre ses fasses rondes et appétissantes, une fleur rasée aux lèvres aussi foncées que celles de sa bouche. Je la complimente sur sa performance et son charme. Elle est une bonne fille. Je pousse encore un peu ma chance en exigeant qu'elle s'agenouille et, tant qu'à y être, qu'elle me suce. Elle rechigne, car je lui ai promis de ne pas la toucher.
    
    - C'est TOI qui vas me toucher, argumenté-je. Moi, je ne bouge pas.
    
    Elle proteste, mais lui reparler de son Aurélien lui cloue le bec. Pour l'amadouer , je lui brandis un condom. J'ai tout prévu.
    
    Elle s'exécute, à mon plus grand plaisir. Elle me fais un peu mal en sortant mon engin, mais je demeure compréhensif: je suis bandé comme un cheval. Je ressens bien un brin de culpabilité, mais elle est si jolie, agenouillée à mes pieds, à me pomper avec énergie, presque avec enthousiasme, que j'oublie vite mes bons sentiments. ...
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