1. Du côté des prisonniers : Marion - Jacquotte


    Datte: 08/01/2019, Catégories: fh, pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... préféré prendre la poudre d’escampette. Outre qu’elle n’a pas conscience de l’attrait qu’elle exerce sur Dustin, son séjour au bordel ne la pousse nullement au flirt. Son dépucelage dans cette cave sordide et la suite l’ont profondément marquée. Dans son esprit l’amour physique ne rime aucunement avec plaisir. Elle lui rend son regard. Les secondes s’écoulent en silence. Celui-ci est rompu par un :
    
    — Monsieur Galleway venant de l’escalier. Le charme est rompu. C’est la logeuse qui recommande d’aller faire provision à la fontaine voisine avant qu’elle ne soit plus en eau pour des travaux d’entretien d’au moins une journée. Il prend des récipients et va quérir le précieux liquide. Après le départ du garçon, Jacquotte en profite pour se mettre à l’aise, retirer le bandage qui lui enserre la poitrine et faire un brin de toilette. Elle pense que Dustin sera long, car il y aura certainement du monde à la fontaine, aussi prend-elle son temps. Le garçon revient beaucoup plus rapidement qu’elle ne l’avait imaginé. Elle a à peine fini ses ablutions et est encore simplement en chemise à son retour. Elle a juste le temps de nouer une des attaches. Il dépose ses bidons, fouille dans sa besace et en sort un petit paquet en lui disant :
    — Tiens, c’est pour toi.
    
    Comme il la sait gourmande, le présent contient quelques sucreries. Il aurait voulu qu’il y en eût plus, mais il n’est point riche et le séjour en ville coûte cher. En le remerciant, elle le pose sur la table pour l’ouvrir. ...
    ... En voyant le contenu, son visage s’éclaire. Elle saute au cou du garçon pour déposer un baiser sur chaque joue. Comme elle va pour reculer, elle s’aperçoit qu’elle est tenue par les hanches. Bien que la prise soit légère, elle ne cherche pas à s’éloigner et laisse ses bras autour du cou de Dustin. Leurs visages ne sont pas distants de trois pouces, leurs souffles se mêlent. Chacun sent l’intensité du regard de l’autre. Le temps semble comme suspendu. Presque timidement leurs lèvres se joignent.
    
    Elle a été baisée de toutes les manières possibles et plus encore, mais c’est la première fois qu’elle embrasse un garçon. Quand elle sent sa langue venir chercher la sienne, elle fond, accroît son étreinte et se blottit contre lui. Il avait craint une réaction de protestation lorsqu’il lui avait pris la taille. Non seulement elle n’a pas cherché à se dégager, mais répond à son baiser, même quand il lui pose une main sur sa chute de rein. Si in fine elle abandonne ses lèvres, c’est pour reprendre souffle. Il l’embrasse dans le cou, d’un côté, de l’autre, effleure sa bouche et recommence.
    
    Elle apprécie et laisse le garçon poursuivre, même lorsqu’il dénoue la rosette qui tient sa chemise fermée. Il en écarte les pans et la fait glisser de ses épaules, pour embrasser l’adorable poitrine qu’il dévoile. C’est la première fois qu’il la revoie nue depuis la nuit de son intrusion en fort piteux état une nuit qui lui paraît si lointaine. Depuis, il prenait soin de s’éloigner quand elle se ...