1. Passage 1


    Datte: 06/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, ffh, jeunes, copains, vacances, Masturbation Oral 69, pénétratio, Auteur: Busybee, Source: Revebebe

    ... quartier des Halles et me demanda des nouvelles de Valy. Surprise, je ne savais que répondre, craignant de couper des ponts si fragiles. Je lui dis qu’elle était absente, sans plus, prétendis être pressée et occupée, mais promis de me rendre sans faute au Petit Bouchon le soir.
    
    Gilles était tel que cet été, barbu blond souriant, je le trouvais plein de charme. Loin de Titou il semblait plus spontané et volubile. Il était accompagné d’un plus jeune garçon, Émile, qu’il me présenta comme son cousin, étudiant à Limoges comme lui, mais en sciences. Ce dernier était comme l’envers de Gilles, plus méditerranéen, moins grand, plus gamin en face d’un cousin adulte et imposant. Il me donna des nouvelles de Titou qui partageait avec Émile, Sandrine son amie et lui un grand appartement depuis la rentrée. Je lui parlai de nous. Il était déçu que Valérie ne fût pas ici ce soir et sa déception me contrariait. Cependant les deux garçons n’avaient pas prévu de logement pour le week-end, j’en conclus à une préméditation, mais qui m’arrangeait bien. Mon plan se construisait. Je les invitai à partager notre studio, il y avait de la place puisque Valy n’y était pas. Après tout un trio plutôt qu’un quatuor, l’exercice serait aussi virtuose.
    
    Assez tard rentrés, je les installe chez moi après avoir rapproché nos deux lits pour n’en faire qu’un. Je nous sers un verre. Après ma douche je leur laisse la salle de bains et attends la suite des opérations, timide comme une débutante, que je suis, ...
    ... après tout. Gilles sort le premier. Il est beau, s’est parfumé. Je le regarde en silence, dans le doux éclairage de notre studio bleu, lui tends une main qu’il prend, il se rapproche, perd sa serviette et découvre sa nudité. Je souris. Il m’embrasse, je l’enlace, nous roulons sur le lit. Moment de silence adoré. La porte s’ouvre, Émile gêné : « Oh pardon je vous dérange ». J’ai failli éclater de rire tant la conjuration est évidente. Gilles : « Mais non, reste », il me regarde : « Il peut nous rejoindre ? ». Ces bandits d’amour sont adorables. Je ne réponds rien mais tends la main à son ami qui vient sans se faire prier. Les deux garçons bandent.
    
    Dois-je te raconter la suite ? Est-ce racontable ? Nous ne dormirons guère cette nuit. Tout se déroule sans même y penser. De longues caresses, à trois, des massages aux huiles parfumées que les garçons ont apportées. Nous apprenons toutes les parties de nos corps. Ces deux garçons sont magnifiques, complémentaires, d’une belle tendresse. Deux corps fermes, grand, mince et blond l’un, l’autre plus petit, brun, trapu, poilu, mignon. À mon dépucelage ils me préparent comme une reine, excellemment bien, comme pour une cérémonie sacrée. Je quitte toute peur, toute appréhension. Ce n’est pas Gilles, c’est Émile qui aura la primeur de ma petite fleur. À côté du géant qu’est Gilles il est comme un frère pour moi, et il te ressemble un peu. Une queue plus mince que celle de son ami, qu’il n’aura pas de mal à introduire, tant je mouille ...
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