1. Passage 1


    Datte: 06/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, ffh, jeunes, copains, vacances, Masturbation Oral 69, pénétratio, Auteur: Busybee, Source: Revebebe

    ... et en séjour avec ses parents, à de tendres rencontres dans le jardin. Plus que tendres, même, leurs rendez-vous. Gilles, le grand Gilles, paraissait plus que ses vingt ans, plutôt blond nordique, mûr, légèrement barbu et très séduisant, un bon choix trouvions-nous. Même plus que majeure elle n’avait pas été autorisée, Titou, à l’héberger dans sa chambre : ses parents, bien que de tendance libérale, étaient plutôt catho-coincés sur le sujet du sexe et notre amie n’avait pas envie de se compliquer la vie ni de rejoindre Gilles dans la minuscule caravane de ses parents. Les soirs d’été étaient longs. Après promenades nocturnes et sorties diverses nous rejoignions la grande tente dans le jardin pendant que Titou et Gilles se mettaient les sentiments à jour, comme nous disions, dans les bosquets du jardin. Tendres amants. Et ne nous privaient jamais de la douce musique de leurs ébats. Lorsque Titou nous rejoignait dans la nuit elle n’avait pas besoin de nous raconter ce que nous savions déjà. Le temps passait ainsi et leurs ébats accompagnaient nos caresses solitaires et nocturnes qui nous faisaient rêver à d’autres douceurs.
    
    Les choses ont évolué un soir d’orage, les amoureux nous rejoignirent à l’apparition des premières gouttes, nous demandant l’hospitalité pour un moment. Ils paraissaient peu gênés, cette demande les émoustillait plutôt. Valérie répondit que l’hospitalité, nous l’offrions depuis longtemps avec nos oreilles, les bruits de leur gymnastique nous ...
    ... accompagnaient depuis le début du séjour et qu’ils pouvaient continuer ainsi sous la tente sans que cela nous dérangeât plus que cela. L’endroit était spacieux et confortable, avec de bons matelas et des couvertures en nombre, il y en avait pour quatre donc pour cinq, mais la pièce était unique. Josy et moi approuvâmes, il était plus rigolo qu’ils fassent cela à côté de nous, nous étions curieuses comme des puces et leur souhaitions bienvenue au baisodrôme comme disait Josy à la langue bien pendue.
    
    Ils s’installèrent sur la couche centrale, celle de Titou. Et sans se démonter continuèrent, entre nous trois accroupies, ravies d’un tel spectacle dans la pénombre de la tente, le protocole déjà entamé. D’abord intimidé, Gilles quitta son short, ôta ce qui restait des vêtements de Titou et finit par ne plus se rendre compte que nous étions présentes, ou plutôt, d’après moi, s’en excitait d’autant plus. Ils se glissèrent sous les draps mais la cache était symbolique et le voile pudique ne résista pas longtemps à leurs mouvements. L’atmosphère était surréaliste. Je distinguais Josy, la main glissée sous sa nuisette, en face de nous, qui se caressait lascivement au rythme de leurs performances en se mordillant la lèvre inférieure. Valérie et moi, engoncées dans nos pyjamas, enlacées, regardions ce spectacle fascinant. Ils étaient beaux, ce tableau vivant émouvait au plus haut point la vierge que j’étais. Gilles et Titou ne cessaient de varier les positions, la fille avait l’art de retenir ...
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