Passage 1
Datte: 06/01/2019,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
ffh,
jeunes,
copains,
vacances,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
Auteur: Busybee, Source: Revebebe
... bouche je n’en avais jamais eu.
Divine mission. Un baiser appuyé sur le gland en prologue et mes lèvres glissèrent doucement pour l’avaler. Pas un geste de Gilles, pas un soubresaut du membre d’acier ne contrarièrent mon invitation au plaisir. Un souffle, un soupir d’aise répondirent seuls à mon geste. Ma fascination était entière. Plus qu’étrange, cette queue dure, chaude et immobile, au goût sûr et doux à la fois. Sa solide présence me rendait hommage. À mon tour je m’appliquai. « Jusqu’au bout » m’avait dit Valy. Je fis glisser le membre au fond de ma gorge et retins discrètement un haut-le cœur : il était fort long et raide. Volumineux, très volumineux. Écartant les dents j’appuyai le gland sur le haut de mon palais, le faisant glisser, aller et venir en maintenant mes lèvres sur la hampe vigoureuse. Je jouai de surprise avec cette méconnaissance qu’ont les garçons des endroits secrets de la bouche féminine. Le résultat ne se fit pas attendre : il ne put retenir cette fois son plaisir que quelques minutes, et dans un spasme splendide déversa son sirop d’homme en jets chaux et doux, dans le fond et sur l’arrière de ma langue. Moment tant attendu. Je me gardai de contrarier sa joyeuse éjection, son éjaculation si enthousiaste, prenant pour moi toute cette suprême liqueur que j’avalai jusqu’à la dernière goutte. Ma bouche s’immobilisa pour lui faire apprécier le moment divin du repos. Puis le membre ramollit, je le laissai et levai les yeux. Un autre spectacle, ...
... inattendu, se montrait à moi : Valérie avait pris la bouche du garçon, nous les deux sœurs concourions à son plaisir ce soir. Des caresses de douceur nous joignaient encore avant le sommeil. Nous nous endormîmes enlacés, à trois, et au petit matin Gilles avait disparu.
Titou ne nous parla pas de ce qui avait pu se passer cette nuit : Gilles ne partagea plus les suivantes avec nous. Quelques flirts et mains baladeuses avec une bande de garçons de passage sur la plage et une soirée de bal nous fit hélas oublier cette chaude soirée. Titou rentrait au petit matin, seule. Elle aimait se montrer, mais pas partager, m’avait dit Valy : Gilles disparut de notre horizon et on n’en reparla pas de l’été, je ne le revis donc pas, Valérie et Josy non plus.
Nous rentrions quelques jours plus tard à Paris. La rentrée était importante pour moi, mon début de vie étudiante au quartier latin, avec ma sœur dans le petit studio que nos parents nous prêtaient. Et c’est après quelques mois que Gilles reprit contact avec nous.
Il avait laissé un message sur notre répondeur : il serait de passage dans la capitale la fin de la semaine de la Toussaint. Cela me surprit mais m’enchanta. Je suppose que ma sœur avait dû lui laisser son numéro parisien mais il devait ignorer que Valy qui venait de quitter la France était en stage en Angleterre jusque fin décembre. J’attendais ma bonne fortune.
Il rappela un soir que j’étais plongée dans une étude sur l’économie africaine, me proposa un restau dans le ...