Charlène - Histoires de Sexe

Charlène

... elle était femme. Nous avons parlé de sa transformation, j’étais curieux, voulais tout savoir :

— Depuis que je suis toute petite, je sais que je suis une femme. Seulement, je ne suis pas née dans le bon corps. Alors vers dix-huit ans, j’ai décidé de passer à l’acte. J’ai subi des tests psychologiques pour voir si ma démarche était bonne et tout ça ; mais bien sûr que ma démarche était bonne ! Je suis une femme ! Comment aurait-il pu en être autrement ? Je me suis laissé pousser les cheveux, je me suis mise à m’habiller en femme tous les jours, mais pas en look de pin-up ou de star glamour, non, juste simplement, en jean, chemisette, quelquefois de longues robes. J’affectionnais beaucoup à l’époque les robes soleil ! Je me maquillais très sobrement. J’ai aussi fait une dizaine de séances d’épilation définitive au laser médical, ainsi je n’ai plus besoin de me raser, mon visage est glabre, mon torse, mes jambes et mes bras aussi.

Alors qu’elle me racontait tout ça, je la caressais, nous étions nus au lit, et à l’occasion, une envie subite me prenait, mon sexe se levait, raide. Charlène riait, observait ce membre à l’affût de son corps à elle. Elle le prenait en bouche, ou le caressait simplement en continuant à parler.

— Alors j’ai pris un traitement substitutif hormonal, mes seins ont commencé à pousser, ils sont beaux non ?

Naturellement, je les mordillai.

— Je n’ai pas voulu me faire opérer pour avoir un vagin, non. Ça me semblait trop dangereux. Ainsi j’ai ...

... gardé mon pénis, mais pour l’État, une femme est un vagin, point à la ligne. La seule opération esthétique que je me suis fait faire est l’adoucissement de mon visage (caresses sur les joues), et de ma taille (caresses sur la taille, les fesses) c’est tout et c’était bénin comme opération.

Cette discussion complète a duré peut-être deux semaines. Nous n’avions aucun contrat ni un ni l’autre, avions le temps de passer des journées au lit, à nous connaître, à nous aimer. Nous parlions allongés l’un à côté de l’autre, elle sur le dos, moi sur le côté, le visage dans la main, le coude au lit.

— Pendant deux-trois ans, mes factures étaient au nom de Charlène, comme mon courrier, mon contrat de travail, etc. J’ai fait des dons à la Croix-Rouge qui m’a répondu à mon nom de femme. J’ai écrit à la Mairie pour une proposition de projet, on m’a aussi répondu à mon nom de femme. J’ai gardé toutes les enveloppes, tous les courriers prouvant que j’étais Charlène. Tu veux les voir ?
— Je te crois.
— J’ai donc pu avoir des comptes de banque aussi au nom de Charlène. Or, pour l’État civil, je suis toujours Charles, mais c’est tout. Dans la vie de tous les jours, je suis celle que tu as rencontrée… Je suis donc une poupée queutée, unechick with dick, uneshe-male…
— Tu es Charlène…

Bandant, je me suis hissé sur elle, elle sur le dos, ai installé sa queue dressée de femme à l’entrée de mon anus, et me suis laissé descendre tranquillement. Je l’ai chevauchée, ma queue à moi dansant ...