À la poursuite du faux pivert
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
h,
fh,
2couples,
couple,
Collègues / Travail
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Humour
policier,
Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe
Le soir tombait doucement sur un Chicago écrasé de chaleur. L’air était desséché comme le vagin d’une grand-mère et l’atmosphère devenait de plus en plus irrespirable. Sur mon bureau, les restes d’un hamburger de chez Jack (sur la cinquième avenue) refroidissaient gentiment ; il faisait trop chaud pour manger. Sous le bureau par contre, la chaleur ne semblait pas déranger Karen, ma charmante assistante, qui venait de se lancer dans une fellation digne d’un Hot d’Or. Le pantalon et le caleçon descendus sur les genoux, je sentais ses cheveux venir frotter contre ma peau à chacun de ses mouvements. Ses lèvres enserraient ma verge tendue, glissant parfaitement sur ma peau, et mon gland venait buter contre son palais. Ses mains ne restaient pas inactives, celle de gauche enserrée autour de mes couilles et la droite caressant ma cuisse. Cette fille était vraiment une déesse dans cet exercice, d’autant plus que je marinais dans mon bureau depuis le matin et que la transpiration devait être intense là-dessous, ce qui ne semblait pas la déconcentrer.
Oubliant toutes les affaires en cours (ce qui n’était pas dur vu le peu d’activité de mon agence), je me laissai aller au fond de mon fauteuil d’une prestigieuse marque suédoise et savourai la caresse buccale de Karen.
Et puis là, je ne sais pas ce qu’il s’est passé : je vis un homme, debout devant moi. Comment était-il arrivé celui-là ? Je ne l’avais pas entendu entrer, et pourtant, il était là, planté devant moi, tiré à quatre ...
... épingles dans un costume italien à 5 000 dollars, parfaitement stoïque malgré la situation dans laquelle je me trouvais.
Je tapotai la tête de Karen. Celle-ci répondit par un grognement, redoublant le rythme de ses mouvements. Je lui agrippai plus fermement le visage et la forçai à reculer. Elle sortit ma verge de sa bouche et, sans cesser de me caresser, dit :
— C’est bon, ça ne me dérange pas de tout avaler, vas-y !
— Karen, nous ne sommes pas seuls.
Elle regarda derrière elle, sans aucune surprise visible.
— Ah oui, en effet, il y a du monde. Un ami à toi ?
— Non, pas vraiment… Je crois qu’il vaudrait mieux que tu nous laisses.
— Bon, comme tu veux.
Elle sortit de sous le bureau et quitta la pièce, la tête haute en passant devant l’inconnu. Avec un sourire gêné, je remontai comme je le pus mon pantalon et fis signe à mon visiteur de s’asseoir.
— Je pense que vous devez être le fameux détective Don Booth ?
Non seulement, ce mec avait une froideur et un self-control exceptionnel, mais en plus il parlait comme un morceau de glace (je sais, c’est dur d’imaginer un morceau de glace en train de parler…). Mon instinct ne me trompe jamais, et je sus que j’avais devant moi un pur représentant du flegme britannique.
— Oui, c’est moi, Don Booth. Excusez-moi pour la posture dans laquelle vous m’avez trouvé, mais je ne vous avais pas entendu entrer.
— Nous avons tous nos moments de faiblesse, Monsieur Booth.
Je pense que c’était sa façon à lui de se montrer ...