La mer jamais atteinte
Datte: 02/01/2019,
Catégories:
hh,
couple,
poilu(e)s,
forêt,
campagne,
voiture,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
hdanus,
hsodo,
Auteur: Julien Saint-Honoré, Source: Revebebe
... même temps que nos membres s’unissent, bras contre dos, jambes rejointes. J’ouvre les narines et souris. Je m’approche autant que me le permet ma ceinture de sécurité et embrasse sa joue.
— Coquin ! lui dis-je.
— Regardez qui parle ! Celui qui m’a depuis longtemps enlevé tous mes vêtements dans sa tête !
— J’aimerais encore mieux que tu les enlèves pour de vrai.
— Est-ce un défi, monsieur ?
— C’en est un, monsieur !
Il rit, me regarde en plissant les lèvres, semblant retourner l’idée dans sa tête. Soudain, il met son clignotant, et va s’arrêter sur la bande d’arrêt d’urgence de la nationale. Je le regarde étonné. Il défait sa ceinture, puis, en se contorsionnant, retire d’un seul mouvement son boxer et son jean en gardant ses chaussures, dévoilant ainsi son sexe dans les prémices de l’érection et ses lourds testicules, le tout enserré par un anneau de métal qu’il aime à porter, le dispositif ayant à la fois un intérêt esthétique et un intérêt pratique, puisqu’en cas de raideur, il empêche le reflux du sang, provoquant une érection encore plus forte. Il jette ensuite ses vêtements sur la banquette arrière, et enlève sa chemise. Son téton gauche, percé d’un anneau d’argent, se pointe encore plus, d’excitation plus que de froid, la température ambiante étant plus qu’agréable. Il me refait un clin d’oeil, fier de sa provocation.
— Tu n’as pas peur que quelqu’un nous voie ?
— S’ils regardent, c’est que ça les intéresse, non ?
— Et la police ?
— Un risque à ...
... prendre. Où est passé ton sens de l’aventure ? Dégonflé !
Je souris, lui tire la langue et enlève mon short et mon slip, de la même façon que lui. Puis je fais glisser mon t-shirt par-dessus ma tête, et balance le tout à l’arrière, dans un gros tas de tissus en boule.
Il ne sourit plus. Je lis le désir dans l’étincelle verte de son regard. Il avance sa main, et caresse ma large poitrine, également velue et brune, mais bien moins musclée que la sienne. Il pince un peu mon téton gauche, m’infligeant de doux et électriques frissons tout le long de mon corps. Ma verge se dresse. Il s’arrête immédiatement, et reprend nonchalamment le volant et la route. Il y a très peu de voitures mais il faut bien admettre que la situation est excitante. Je n’ai aucune passion particulière pour les automobiles, mais le voir ainsi conduire d’une main me donne très envie de le perturber un peu. Je m’étends vers lui au dépit de toute prudence et me penche vers son lourd paquet. Du bout de ma langue, je titille le bout fripé de son prépuce, que son excitation passée a lubrifié d’un clair et goûteux liquide. Je passe ma langue sous le faible repli de peau, atteignant le méat, qu’il a très large. Il soupire d’aise. Je sens de petits à-coups dans sa conduite. Son pénis se dresse au rythme des battements de son coeur, découvrant un gland très large à la roseur brillante. Ses testicules poilus semblent gonfler sous l’excitation. Lorsque, tout en léchant son frein, je passe une main sur son téton percé, il ...