Le peintre et sa muse (4)
Datte: 15/02/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
... soulève un peu le drap et se glisse dans le lit.
Il s’allonge face à Annie. Et comme trois complices, Annie engage la conversation, on reparle tous les trois du tableau et de mes expositions.
Bernard doit maintenant être habitué à la pénombre et, tourné vers sa femme, il doit voir mes doigts qui jouent avec ses tétons.
Je les sens qui sont allongés, ils ont durci. Ils doivent être beaux à voir.
D’ailleurs, Annie nous dit à voix haute :
"C’est bon François, j’aime ce que tu me fais."
Elle ajoute pour son homme :
"François a des doigts de fée et mes tétons sont très excités".
Bernard répond de façon très naturelle :
"Super, je suis content que tu aimes".
Moi, je n’ose pas trop dire, mais cela m’excite et mon gland a encore grossi dans son antre.
Annie se permet même de bouger un petit peu.
Un peu seulement, car Bernard ne sait pas encore ce qui se passe plus bas, sous le drap.
Je me sens super bien, au chaud, contre ces fesses rondes.
Et la conversation entre Annie et Bernard se poursuit :
— Annie : "Caresse-moi le ventre".
— Bernard : "Oui, tu as la peau douce, ce doit être la douche."
— Annie : "C’est super ! François s’occupe de mes seins, et toi, de mon ventre, descends un peu".
— Bernard : "Je tourne autour de ton nombril, tu aimes ?"
— Annie : "Oh, oui ! Mais va plus bas, oui tu sens comme je serre mes jambes.
Non, coquin, on ne passe pas".
— Bernard : "S’il te plaît, écarte un peu que j’aille sur ton petit ...
... bouton."
— Annie : " Tu veux vraiment, tu es sûr ?"
— Bernard : "Oh, oui ! Et je sais donc que tu aimes cela.
"Tu verras, François qui étire tes tétons avec ses doigts et moi qui tourne autour de ton clito avec mes doigts, tu aimeras."
— Annie : "Soit".
Je sens Annie qui écarte les jambes, je sens son bas-ventre qui bouge sous les caresses de son homme.
Les lèvres qui entourent mon sexe s’étirent et je sens un contact : le doigt de Bernard contre mon pieu de chair.
C’est rapide, il a compris où je suis, il se retire en disant même un "Oh, pardon", et je sens qu’il reste sur le petit bouton et tourne de plus en plus vite.
Il sait que je suis en elle et Annie me dit :"François, coulisse en moi, bouge, prends-moi, baise-moi.
Oui, entre et sors, plus fort, tu es gros, c’est terrible."
Je suis déchaîné, je prends appui avec mes mains sur ses fesses pour bien la baiser.
Bernard, je crois, malaxe ses mamelles, et Annie secoue la tête, crie, gémit, hurle. "Donne-moi ta queue en main. "C’est ce que j’entends qu’elle dit s’adressant à Bernard.
Elle doit être en train de le masturber.
Et c’est ainsi que nous explosons.
Moi je la remplis de mon sperme.
Bernard lui gicle sur le ventre.
Elle n’arrête pas de jouir.
Annie explose. Puis elle se calme et semble épanouie.
Je n’ai pas compté, mais cela n’arrêtait pas, peut-être quatre ou cinq fois. Toujours est-il que, calmés, allongés, les trois côte à côte sur le lit, en passant mes mains, je ...