1. Le peintre et sa muse (4)


    Datte: 15/02/2018, Catégories: Hétéro Auteur: lerelieur, Source: Xstory

    ... bain.
    
    Je veux la caresser, mais, elle me dit : "Plus tard, plus tard".
    
    Je n’insiste pas.
    
    Elle me donne une serviette et un savon, me montre la douche et en sortant elle me dit : "Quand tu as fini, reviens dans le salon."
    
    Et donc je redescends pour les rejoindre. J’ai mis autour de ma taille une serviette de bain.
    
    Je vois Annie et Bernard qui me regardent.
    
    Pour Bernard, c’est la première fois qu’il voit ma poitrine, mes bras, mes jambes nues, Annie, elle, elle connaît ! Et c’est au tour de ma chérie de monter alors que nous, les hommes, nous buvons un ultime verre.
    
    Quand elle revient, je ne peux détacher mes yeux d’elle.
    
    Hier, je l’ai vue nue, là, elle a revêtu une nuisette blanche, courte et transparente.
    
    Ce vêtement ne cache rien, ni ses gros seins denses ni son sexe lisse, et c’est d’un érotisme exquis.
    
    Encore plus excitant que si elle était nue.
    
    Je bande sous ma serviette, c’est fort. Je suis gros.
    
    Je reste sans voix, Bernard semble également agréablement surpris.
    
    "Bernard, c’est à ton tour de te doucher, mais avant cela, merci de ranger le séjour, de faire la vaisselle pour les verres.
    
    Vérifie aussi que toutes les portes et fenêtres sont fermées, et puis prépare la table pour le petit-déjeuner de demain."
    
    — "Oui, Annie, ce sera fait et ensuite donc je vous rejoindrais (ajoutant) pour passer une nuit calme et reposante, en tout bien tout honneur."
    
    — Bien sûr Bernard. Et toi, François, viens, on va se glisser sous le ...
    ... drap.
    
    Elle me prend par la main, nous montons, entrons dans la chambre.
    
    Je vois le lit ouvert et la lumière est très tamisée.
    
    Annie, sans gêne, devant moi, retire sa nuisette, s’allonge sur le dos dans le lit et me dit : "Viens vite, embrasse-moi".
    
    Je tombe ma serviette, et nu, je m’allonge sur elle, on s’embrasse.
    
    Pendant quelques minutes, nous nous caressons, c’est une sensation superbe, nos deux corps qui bougent et luttent. Je lui donne des baisers sur les seins, le cou; elle me lèche le visage, ma poitrine, mes bras.
    
    Elle semble aimer les poils et je n’en manque pas.
    
    Je ne suis pas velu comme un ours, non, mais suffisamment pour faire viril.
    
    Nous entendons la douche, Bernard ne va plus tarder alors, elle tire le drap sur nos corps.
    
    Elle me demande de m’allonger de côté contre elle, ma poitrine contre son dos, mon sexe contre ses fesses. Dans cette position, elle soulève une jambe et de sa main elle attrape mon sexe pour le placer sur son sexe.
    
    Annie :"Entre doucement en moi. Oui, pousse, c’est bon. Mes lèvres s’écartent."
    
    « Tu sens. Je suis trempée. Tu es dur. Oui, pousse encore. Que tu es gros ! Tu es bien placé ? Reste ainsi. Reste en moi, ne bouge plus, mais passe tes mains, l’une sur moi, l’autre sous moi pour tenir mes deux seins."
    
    Et c’est dans cette position, couchés de côté, moi, derrière elle, et mon sexe en elle, ayant dans chaque main une de ses mamelles, que nous devinons la porte qui s’ouvre.
    
    Bernard entre nu et avance.
    
    Il ...