Le peintre et sa muse (4)
Datte: 15/02/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
... je suis, je propose à Annie de l’aider à débarrasser la table et je profite du passage en cuisine pour la palper, l’embrasser.
Elle se défend, mais je sens bien que cela l’excite.
Le café, nous le prenons dans le salon où elle allume une lumière tamisée très intimiste.
Nous sommes dans une agréable pénombre et c’est tout naturellement que Bernard ouvre une bouteille de fine champagne.
Nous bavardons de tout et de rien. Des séjours à Collioure, de voyages faits ou envie de faire.
Puis la conversation porte vers la possibilité d’acheter un nouveau tableau.
Annie, souvent, croise et décroise les jambes.
Autant la robe est bien fermée au niveau du cou, autant elle est courte et ses mollets nus et même ses cuisses qui sont fermes me sont bien exposés.
Je vois aussi qu’elle me provoque parfois lorsqu’elle passe négligemment une main sur un sein pour bien me montrer sa forme, une forme que je connais bien, mais avec laquelle je redécouvre toujours avec autant de plaisir et même d’excitation.
On plaisante on bavarde et l’on boit. Et Annie prend la parole, s’adressant à son homme et regardant le niveau de la bouteille de fine champagne :
"Bernard, as-tu vu ce que vous avez bu ?
Il n’est pas raisonnable que François rentre en voiture."
— "Ah oui, c’est vrai, le temps est passé, on a abusé, je le reconnais."
— Par prudence, nous devrions proposer à François de rester ici pour la nuit, nous pouvons l’héberger."
— Oui, tu as raison, mais je ...
... te rappelle que la chambre d’amis en est réfection, les peintres n’ont pas terminé.
— Que faire ? Je n’ose pas proposer que nous partagions notre lit avec François.
Après avoir dit cela, Bernard se tourne vers moi, je fais l’air étonné, et le dialogue se poursuit entre lui et moi :
"François, Annie a raison, tu ne dois pas conduire avec l’alcool que tu as bu, mais je ne voudrais pas que tu sois gêné si l’on te propose notre lit.
Il est large, il a deux mètres, on aurait de la place pour nous trois."
— "Je ne voudrais pas abuser de votre hospitalité; trois dans le même lit, ça me gêne.
Vous ne voulez pas que je dorme sur le canapé ? Et puis, je n’ai pas de pyjama; et surtout qu’habituellement, je dors nu."
— Ah non ! Le canapé est trop inconfortable et si Annie propose le grand lit, je n’y vois aucun inconvénient surtout que, rassurez-vous, nous aussi nous dormons nus.
Je remarque qu’Annie a suivi cette conversation avec intérêt, elle m’a même souri comme pour me dire :"Tu vois, il est d’accord."
J’accepte donc et on reboit un petit verre de fine champagne, je n’ai plus de raison de surveiller la quantité d’alcool puisque je ne pars plus.
Mais il se fait tard, Annie propose que, avant de faire dodo, nous nous douchions et elle décrète que c’est à moi de commencer.
Elle m’emmène à l’étage, on passe devant la chambre où nous dormirons, la porte est ouverte et je vois rapidement le grand lit, une armoire, un miroir.
A côté, c’est la salle de ...