Vendredi 8 mai 2048
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
fh,
piscine,
sauna,
fsodo,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... Gilles à ses fourneaux. Son sourire se fige en remarquant le désarroi d’Hélène ; je lui communique par un petit signe de passer outre. Il lance sur un ton jovial :
— J’en ai pour quelques instants encore ; allez vous servir un petit apéritif en attendant. Pour moi, ce sera un pastis.
La bonne humeur et la sérénité de notre hôte apaisent Hélène ; ses traits s’adoucissent, et ses beaux yeux en amande, bien que bouffis, sont moins humides.
— Est-ce que vous montez à cheval ?
— Je suis novice dans cet art : je suis montée jeune sur des poneys, mais je ne suis jamais allée plus loin.
— Si cela vous intéresse, je peux vous donner une première leçon dans la lice cet après-midi.
Elle me regarde ; son visage s’illumine.
— Ce sera avec plaisir !
— Vous monterez Kaïla : c’est une jument très douce, comme vous.
Elle rougit. Je suis heureux pour elle, mais étonné par la saillie verbale inhabituelle de mon ami.
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De la fenêtre de ma chambre, j’ai une vision parfaite sur la lice. Gilles, au centre de l’aire, dirige par la longe. Hélène, trop crispée sur la selle, tient la crinière blanche et corrige son assiette sous les injonctions tranquilles de l’instructeur. Je me replonge dans la lecture deL’art de la guerre, de Sun Tzu, que j’ai pioché dans la vaste bibliothèque du château. Parfois des bribes de son atteignent mes oreilles et me donnent l’avancée des progrès de mon amour. Je suis absorbé dans le passage qui traite de ...
... la façon de motiver ses combattants tout en déstabilisant les ennemis quand la porte s’ouvre et qu’Hélène entre en tenue de cavalière dans la chambre. Elle se déshabille prestement et se traîne, épuisée, dans la salle de bain.
Quand elle en ressort, enveloppée dans un long peignoir, elle me sourit ; il y a bien longtemps qu’elle n’est aussi radieuse. Elle se jette sur le lit.
— Ouh, je suis brisée ! Je ne pensais pas que ce soit si épuisant, et j’ai les cuisses douloureuses à force de serrer la monture.
J’écarte le bas du peignoir : l’intérieur des jambes est rouge vif. Je me saisis dans mon sac d’un tube de crème apaisante et je badigeonne à partir des mollets, puis je remonte en massant. Elle ferme les yeux. Elle soupire. Elle plie les jambes et m’offre une vue magnifique sur son entrecuisse. Sur une pulsion, je pose un baiser sur sa vulve ; elle tressaille de surprise. Un deuxième baiser suit : elle ne bouge plus. La pointe de ma langue effleure la longue fente. Elle passe et repasse patiemment au même endroit, attendant une réaction qui tarde à venir.
Mon entêtement porte doucement ses fruits : les grandes lèvres gonflent, et le bourgeon caché sous le capuchon enfle légèrement. La vulve s’ouvre et je plonge plus profond. Elle me regarde, la bouche entrouverte, les yeux brillants. Son clitoris est sorti et darde fièrement ; je le libère totalement et le serre entre mes lèvres. Un feulement léger et ininterrompu remplit la chambre. Je reprends ma caresse dans un ...