1. Vendredi 8 mai 2048


    Datte: 31/12/2018, Catégories: fh, piscine, sauna, fsodo, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... caillouteuse.
    
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    L’eau chaude qui ruisselle sur mon corps endolori par une matinée de coupe est réparatrice. La fatigue physique m’empêche de réfléchir, et la vie me semble plus douce. La porte de la petite douche s’ouvre sur Hélène qui ne prononce pas un mot. Ses seins et son pubis entrent en contact avec mon dos ; la sensation est agréable. Je déplace le pommeau de la douche pour qu’elle profite du flux chaud qu’il dispense. Elle laisse échapper un soupir d’aise, ses bras m’entourent. Elle pose sur mes épaules des baisers. Je ferme les yeux. Ses mains courent sur mon torse, son pubis s’appuie fortement, un début d’érection se développe. L’espace exigu de la cabine m’empêche toute manœuvre ; je laisse ma partenaire mener la danse. Les efforts d’Hélène sont désordonnés, et si elle arrive à obtenir une érection acceptable, il ne semble pas qu’elle prenne du plaisir à l’instant ; ses seins s’écrasent contre mon dos, mais je ne sens pas les tétons qui d’habitude me marquent la peau. Elle se faufile hors de la cabine, observe mon sexe dressé, s’essuie fébrilement.
    
    — Viens, vite !
    
    Elle se place à quatre pattes, les fesses au bord du lit, les cuisses ouvertes, cambrée. La vision de ma partenaire offerte est contrebalancée par une vulve serrée d’où aucune humidité ne semble poindre. Mon gland bute sur les muqueuses sèches ; elles finissent par se rendre sous une pression excessive de mes hanches. Hélène se crispe et laisse ...
    ... échapper un cri de douleur ; je reste une seconde à mi-chemin, puis je termine la pénétration dans un milieu qui s’humidifie mécaniquement. Je caresse avec la plus grande douceur possible ses hanches et débute un va-et-vient lent. Si son vagin m’accepte et que mon sexe coulisse librement, je ne ressens aucun plaisir à l’acte. Ma partenaire totalement docile ne montre rien. La tête baissée, elle m’accueille ; c’est tout. J’essaie de varier la vitesse, l’angle de pénétration, mais aucune réaction ; et mon érection – déjà peu glorieuse – se réduit encore, et sur un coup de reins mal contrôlé, ma verge sort misérablement et dérape. Je m’empresse de me rediriger, mais elle soupire, resserre ses fesses et s’effondre la tête enfouie dans la couette.
    
    Son corps est secoué par des spasmes. Je me couche à ses côtés et l’enlace.
    
    — Pardon, je suis désolé.
    
    Je l’embrasse ; elle redouble de sanglots et me regarde, le visage noyé de larmes.
    
    — Je voulais te rendre heureux, je voulais te sentir, je voulais que nous retrouvions le plaisir d’avant.
    — Nous ne sommes pas prêts pour l’instant ; mais ne t’inquiète pas : tout arrive à qui sait attendre.
    
    Je la relève et lui pose un baiser, la ramène sous la douche et passe sur son corps, pendant de longues minutes, une grosse éponge remplie de mousse. Elle se détend, et quand ma main armée glisse entre ses jambes, elle frémit. J’insiste un peu et ses tétons pointent sous la caresse.
    
    Quand nous entrons dans la salle de séjour, nous trouvons ...
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