La boutique
Datte: 29/12/2018,
Catégories:
fff,
essayage,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
69,
fbi,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... vendeuse, que dirais-tu d’une partie à cinq dans ma chambre ?
— Pourquoi pas. Mais je dois terminer mon service. Il n’est que onze heures. Le magasin ferme à treize heures et ne rouvre qu’à seize heures. J’aurai donc trois heures à vous consacrer. Je vous rejoindrai dès que possible.
La cliente paie son petit deux pièces et nous sortons bras dessus bras dessous.
— Oh ! me dit-elle, je n’ai pas remis ma culotte.
— Moi non plus. Je sens l’air me chatouiller la chatte. Ça fait du bien de la rafraîchir un peu après la petite séance de baise.
— Moi, ça me fait tout drôle. C’est la première fois que je sors sans ma petite culotte. Je sens la fraîcheur me caresser le clito. J’en frissonne.
Nous nous asseyons à une terrasse de café pour siroter un jus de fruits. Nos jupes ultra courtes doivent bien laisser entrevoir que nous sommes nues en dessous, même si nous faisons des efforts pour rester bien serrées quand nous croisons nos jambes. Les passants nous regardent car, sans le vouloir, nous rions aux éclats à la moindre réflexion que nous faisons l’une l’autre. On va nous prendre pour deux petites folles.
— Comment t’appelles-tu ? Moi c’est Claire.
— Moi c’est Mathilde. Nous avons de vieux prénoms, n’est-ce pas ?
— C’est bien ainsi, je préfère m’appeler Claire que Sindy ou Jennifer.
Nous rions toutes deux et je la prends par le bras.
— Attends, me dit-elle, je vais draguer le premier venu. Laisse-moi faire, c’est la première fois que j’essaie et je veux savoir ...
... si je réussirai du premier coup.
À ce moment, un monsieur d’environ quarante ans s’installe à la table voisine. Il jette vers nous un regard amusé mais insistant. Ma compagne se tourne un peu vers lui, fait pivoter sa chaise et lentement écarte ses jambes, juste de quoi laisser percevoir au monsieur qu’elle a sa chatte à l’air libre.
Le regard du voisin plonge dans l’entrecuisse. Qui se referme aussitôt. Le quidam se détourne, l’air un peu gêné. Puis, s’enhardissant, replonge son regard vers les jambes de ma voisine qui entrouvre de nouveau ses cuisses d’un air innocent en regardant ailleurs. Je vois les yeux du bonhomme s’allumer car il a dû voir une petite fente rose déjà ouverte et humide de la cyprine, reste de l’orgasme de la jeune femme. Il se lève, contourne sa table et s’approche de nous le regard brillant.
— Puis-je vous offrir l’apéritif, dit-il d’un air qu’il voulait détaché.
— Ah ! répond ma voisine, quelle idée vous avez. Nous ne nous connaissons pas.
— C’est l’occasion de faire connaissance.
Ma voisine se rend compte qu’elle est allée un peu loin. Elle me regarde, prend son sac, fait mine d’en tirer quelque chose et se lève brusquement.
— Viens, dit-elle. On nous attend.
Elle me prend le bras et m’entraîne vers le passage clouté. Je pouffe de rire en voyant la tête du quidam abandonné avec ses espoirs lubriques. Nous traversons mais je m’aperçois qu’il vient lui aussi de traverser et qu’il se met à nous suivre.
— Le bonhomme est derrière, ...