1. La boutique


    Datte: 29/12/2018, Catégories: fff, essayage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, 69, fbi, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    II
    
    Le soleil est déjà haut dans le ciel et pourtant il n’est que dix heures. Je revois le corps de Myriam, ses seins ronds aux pointes bien plantées sur de larges aréoles brun foncé, ce qui est rare pour une rousse. À croire que sa couleur de feu serait artificielle, ce qui n’est pas le cas, je l’ai vu.
    
    Est-ce que ça sent, une rousse ? Faut-il croire ce que certains prétendent ? Il paraît que leur chatte exhale un parfum très fort, comme du musc. J’ai hâte d’être ce soir pour en goûter toutes les saveurs. Mes pensées lubriques commencent à m’exciter et je sens que mon petit string va se mouiller de ma liqueur.
    
    Bien sûr, il est hors de question que je me passe les doigts dessus en pleine rue, on aurait vite fait de m’emmener dans la petite maison, comme disait ma grand-mère en parlant de l’asile psychiatrique.
    
    Je m’arrête pour regarder une vitrine de lingerie. Un coup d’œil discret dans la vitre et je m’aperçois que je suis suivie. J’entre dans la boutique où une accorte vendeuse m’accueille avec un sourire à faire fondre un archevêque aveugle.
    
    — Bonjour. Que puis-je pour vous ?
    
    J’hésite à répondre car je n’ose lui avouer que je suis entrée uniquement pour trouver refuge.
    
    — Prenez votre temps et appelez-moi si vous avez trouvé quelque chose qui vous plaît.
    
    Je fais le tour de la pièce, m’arrête devant un petit ensemble, transparent bleu ciel : le soutien, aux bonnets fendus à la verticale, laisse les seins nus et le slip assorti est ouvert pour laisser ...
    ... la chatte bien à l’air. La vendeuse s’approche.
    
    — C’est mignon, n’est-ce pas ? Cela vient de rentrer. Voulez-vous l’essayer ? Venez avec moi, la cabine est ici, vous y serez à l’aise.
    
    Je sens qu’il va se passer quelque chose de bon. La vendeuse entre avec moi, tire le rideau.
    
    — Je ne vous dérange pas ? Laissez-moi vous aider, le soutien est parfois difficile à ajuster.
    — Bien sûr, dis-je en faisant passer ma robe par-dessus mes épaules.
    
    La demoiselle me regarde d’un air ébahi.
    
    — Vous avez de très beaux seins, bien fermes. Vous ne portez jamais de soutien-gorge ?
    — Si bien sûr. Quand je travaille.
    — Et quel joli string. On peut dire qu’il ne cache presque rien.
    — J’aime être libre sous mes vêtements. Souvent je ne porte pas de slip quand je sors en ville ; j’aime sentir le vent me caresser les cuisses et le sexe. C’est très agréable. Vous n’avez jamais essayé ?
    — Non, mon ami ne le supporterait pas. Il est jaloux comme une horde de tigres. Il m’oblige à porter des culottes en coton alors que j’adore les fanfreluches et les petits slips légers. Regardez.
    
    Elle soulève sa jupe. Elle n’a pas menti. Elle porte une culotte en coton côtelé, comme en portait ma grand-mère. Pourtant le tissu bien ajusté épouse la forme du pubis enflé et le creux fait par l’ouverture de la fente du sexe. Elle doit avoir un sacré tempérament.
    
    — Vous êtes à l’aise avec ce machin, lui dis-je en souriant. Je ne me moque pas de vous, croyez-moi. Je suis surprise qu’une jolie fille ...
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