La boutique - Histoires de Sexe

La boutique

... comme vous accepte de s’abaisser parce qu’elle a un macho comme copain. Tenez, mettez ça.

Je lui tends le slip fendu du petit ensemble. Rapidement, elle ôte sa culotte et enfile le petit dessous léger. Elle s’approche du miroir en soulevant sa jupe. Je louche vers le miroir et je vois une jolie chatte presque noire mais fendue et bien ouverte d’où sortent les petites lèvres bien pendantes. J’ai envie d’y mettre les doigts mais je me retiens pour ne pas effaroucher la gentille vendeuse à qui je viens de faire découvrir les charmes de cette fine lingerie.

— Vous voyez comme vous êtes jolie avec ce petit machin.
— Oui. On ne le sent pas sur la peau, répond-elle en rougissant. Je le garderais bien pour moi, mais j’ai peur de la réaction de Léopold. Je n’oserais jamais le porter surtout devant lui. Il me tuerait.
— Il est si terrible que cela ?
— Il m’a déjà donné des gifles parce que je me parfumais un peu trop à son goût. Il me traitait de petite pute et de dévoyée.
— J’ai envoyé le mien au diable hier. Essayez donc le petit soutien-gorge. Il doit être à votre taille.

Elle quitte la cabine. Je la suis des yeux qui va fermer la porte du magasin et revient aussitôt. Elle ôte sa jupe, son corsage et le soutien de coton qui couvre ses seins comme ceux des sportives. Elle a tôt fait de passer le petit vêtement que j’aide à ajuster et j’en profite pour frôler du bout des doigts les mamelons, qu’elle a comme des guignes, plantés sur une large aréole rose légèrement ...

... granuleuse.

— Oh la la ! Que c’est beau tout ça ! Vous êtes à croquer. On dirait un mannequin de haute couture.

Elle rougit de plaisir ou de honte ? Elle me regarde.

— Vous aussi vous êtes joliment faite. J’aime vos seins fermes et bien plantés. Je voudrais avoir les mêmes.
— Ne sois pas jalouse, les tiens sont bien faits, je les aime bien.

Je m’approche, pose mes mains sur ses seins nus et doucement je masse les pointes qui durcissent brusquement comme des fraises des bois. Je me penche, passe mes lèvres dessus et me mets à les sucer l’un après l’autre. Elle soupire mais se presse contre moi. Je sens alors sa main se poser sur ma chatte et deux doigts s’insinuer dans ma fente que je sens mouillée. Elle s’en rend compte.

— Oh ! Comme tu mouilles. Caresse-moi la chatte, j’en ai envie.
— Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?
— Non. Tu es la première. Fais-moi du bien avec tes doigts. Tu sais, quand je suis seule, je me caresse et me fais jouir.
— Et ton macho ? Il ne dit rien ?
— Il ne le sait pas. Il m’arrive de m’enfermer dans une cabine, d’essayer de la lingerie, de m’exciter dessus et de me masturber jusqu’à l’orgasme en mouillant les slips. Je me dis que la cliente qui se l’achètera l’étrennera avec ma mouille séchée dessus. Sens, moi aussi, je coule de la cramouille.
— Eh bien ! Tu ne serais pas un peu vicieuse, toi ?

Elle ne répond pas, me prend par le bras et m’entraîne à l’arrière de la boutique. Il y a un divan large et profond. Elle m’attire sur ...