1. La boutique


    Datte: 29/12/2018, Catégories: fff, essayage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, 69, fbi, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... elle, m’embrasse à pleine bouche et glissant sa main entre nos corps, atteint ma chatte et y plonge deux doigts fureteurs. Elle titille mon clitoris qui doit être dans tous ses états. Je me tortille et tente de me relever. Elle me tient entre ses cuisses et a saisi un mamelon entre ses doigts.
    
    Je me sens fondre, je soupire puis me mets à râler. Tout à mon désir, j’arrive pourtant à me libérer, me place en soixante-neuf et je plonge vers sa chatte ma langue que je sais râpeuse. Je sens la sienne se coller contre ma fente et jouer avec mes lèvres.
    
    — Oh ! Oui ! C’est bon ! C’est booon ! N’arrête pas ! Oh ! Oui ! Encore ! Encore !
    
    Je me rends compte qu’elle cherche à imiter mes gestes. Sa langue se frotte contre mon clito et soudain sa bouche toute grande s’empare de mes petites lèvres et du clito et les suce ensemble. Je m’entends hurler de plaisir et mes plaintes se mêlent aux siennes car elle aussi crie sans retenue. L’orgasme alors se déchaîne en même temps sur nous. Elle s’arc-boute, me serre la tête entre ses cuisses et pousse un long cri de plaisir. Je retombe sur elle en sueur. Ciel ! Que j’ai joui !
    
    — Oh ! Comme c’était bon ! dit-elle, en tentant de se relever. C’est la première fois. Tu es si douce. Sans te mentir, j’ai mieux joui qu’avec mon copain. Et toi ?
    — Cela m’est arrivé parfois, surtout quand j’étais étudiante. Tu as raison. L’amour entre femmes est différent. Je trouve cela plus tendre, plus profond. N’empêche qu’une bonne bite, ça fait du ...
    ... bien dans la chatte.
    — C’est vrai mais il faut que le gars soit bien conscient qu’il a avec lui une femme et non une machine. Léopold est du genre : « Couche-toi vite, que je te mette mon engin dans le trou ». Quand il a fini, il s’endort et moi, je reste avec mon envie. Je vais dans la salle de bain et je me branle.
    
    Je la regarde, elle est jolie avec son petit deux-pièces de nylon bleu ciel, les mamelons gonflés et la chatte ouverte qui brille encore de sa cyprine. Je lui caresse les seins, descends vers le ventre. On frappe à la vitrine. Elle se relève d’un bond, passe sa blouse et sa jupe, se précipite pour aller ouvrir, me laissant alanguie sur le divan.
    
    Je me lève à mon tour, enfile ma petite robe et, abandonnant mon string noir, je me glisse doucement dans la boutique jusqu’à la cabine où j’ai laissé mon sac. La jolie vendeuse, encore toute rose et les yeux brillant de son plaisir, accueille la cliente avec un sourire un peu fatigué.
    
    J’entrouvre le rideau pour observer la dame. Elle porte une petite robe légère à mi-cuisses qui cache mal ses longues jambes. Elle s’assied sur le tabouret, croise les jambes en découvrant sa fourche que rien ne protège. Autrement dit, elle n’a pas de culotte, ce qui m’émoustille. Pour peu ma chatte va se remettre à suinter. Je me sens encore toute moite d’avoir joui. Je sors de la cabine, m’approche de la cliente et plonge mes yeux dans les siens. Elle rougit, tourne la tête vers la vendeuse. Je lui souris et pose ma main sur son ...
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