1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (30) : Olga et Hassan.


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... caresser mes lèvres.
    
    • Femme, que fais-tu ? Que veux-tu ? Arrête, il ne faut pas !
    
    Hassan posa la main sur mon épaule nue, pour tenter d’arrêter ma marche vers lui.
    
    Sa voix grave, sa main sur mon épaule… Et mon bas-ventre tressaillit déjà… Un sourire charmeur, une virilité indéniable, et mon intimité commençait déjà à s’humidifier… Je le voulais déjà, je voulais déjà goûter à sa peau, à son intimité, sentir son odeur… Il fallait qu’il m’apaise, qu’il apaise cette demande brulante émanant de mon ventre… Je le voulais…
    
    Il l’a immédiatement compris, a su voir et ressentir mon désir. Son regard a montré une étincelle, j’ai senti l’extrémité de mes seins tendre impunément vers lui, mon intimité continuait à s’humidifier, comme pour répondre à son regard… Les mots étaient presque superficiels, nos corps, nos attitudes et nos regards communiquaient presque d’eux-mêmes…
    
    • Mektoub. Tu dois savoir, femme, que si tu persistes à vouloir t’offrir, tu seras à moi, pas comme maîtresse, mais comme épouse. Tu seras à moi, seulement à moi. Je chasserai Rachid, qui t’a fait tant de mal, mais aussi celui qui n’a pas su te protéger.
    
    • Je suis à toi, Hassan. Viens !
    
    Hassan voulait un abandon total et aveugle. Il voulait que je lui donne tout, me livre corps et âme, sans retenue.
    
    Hassan se colla à moi, pectoraux gonflés, muscles saillants. Il m’enlaça fougueusement, j’étais suspendue à son cou, lui griffant la nuque, vibrant de désir.
    
    J’avais tressailli comme si on ...
    ... m’avait piqué à vif. Il y avait en lui tant de force, de vigueur, que cela me laissait toute faible. Comme un oiseau effrayé qui se laisse prendre dans les griffes d’un matou affamé, et qui ne peut échapper à son emprise. Brusquement, je me sentais si fragile, si désorientée, avec l’envie inavouable de me laisser guider, posséder. Je ne pensais plus à rien, ni à Philippe, ni à Rachid.
    
    Mais là, je savais que je deviendrai la chose de cet homme. Je poussais un grognement éperdu lorsqu’il m’embrassa avec une frénésie animale. Nos langues se trouvèrent hâtivement, voraces, affamées.
    
    Le baiser redoublait d'intensité. Je déboutonnais la chemise, écrasant mes seins contre le torse lisse et bronzé d’Hassan.
    
    Hassan m’écartait les cuisses: du fait de ma récente maternité, mon ventre était bombé, mes hanches larges, le buisson du pubis soigneusement épilé aux limites du maillot, la brèche rose noyée au milieu de la toison brune, gluante de cyprine. J’avais les yeux clos, les joues brûlantes. J’avais envie d’être prise par ce mâle qui me rendait folle de plaisir.
    
    Hassan a quitté son jean, il était nu devant moi. Il m’a écarté davantage les cuisses, je l’ai entendu murmurer:
    
    • Tu es si belle...
    
    Il me serra davantage, je frottais mon bassin et ma poitrine contre lui, remontant un genou entre ses cuisses. Avec une force incroyable, Hassan me porta dans ses bras comme s’il s’agissait d’une plume. Je me sentais emportée par un tourbillon si tumultueux que je me laissais grisée, ...
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