1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (30) : Olga et Hassan.


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... Kamel comment oses-tu ? Tu n’as aucun respect pour la mémoire de nos parents. Je te faisais confiance et tu m’as trahi en souillant cet appartement avec tes débauches !
    
    • Hassan, laisse-moi t’expliquer. C’est une bourge, elle vient ici volontairement pour se faire passer dessus. C’est l’épouse de T., un notable de notre ville, mais elle est la femelle de Rachid, qui la met à disposition des potes.
    
    • Il n’y a rien à expliquer. Je t’ai déjà dit que je ne voulais pas que tu fréquentes Rachid. C’est une petite frappe. Cette femme est folle de son corps et vous profitez de son addiction. Honte à vous !
    
    J’observais l’homme. Son langage tranchait avec celui des jeunes de cette cité. Il employait des mots soigneusement choisis. Au lieu de me blâmer moi, de m’injurier, il s’en prenait à ceux qui exploitaient mon hypersexualité.
    
    Ce qui m’a immédiatement attiré chez Hassan, c’est l’impression de puissance, de virilité qu’il dégageait. Il savait, je l’avais immédiatement remarqué, mettre en valeur sa silhouette et sa puissance, un torse en V, des bras musclés, mettre en valeur son physique. De grande taille, il était un bel homme et il le savait. Un visage fin, des cheveux noirs, des yeux noirs, une fine moustache autour d’une bouche sensuelle. J’ai eu immédiatement un coup de foudre.
    
    • Maintenant ça suffit ! Kamel et Abdel, vous vous habillez et vous dégagez !
    
    • Mais Hassan, protestait Kamel en s’habillant à la hâte, craignant la colère de son aîné.
    
    • Ne discute ...
    ... pas, Kamel, tu vois bien qu’il est fou de rage. Nous sommes chez lui, n’oublie pas. Viens chez moi en attendant qu’il se calme.
    
    • Tu enverras chercher tes affaires, je ne veux plus te voir, tu entends. Dehors !
    
    J’étais impressionnée par cette force et cet esprit de décision. Hassan était un homme fort et décidé. Jamais Philippe, malgré l’immense amour qu’il a pour moi, n’aurait osé agir ainsi.
    
    Pendant ces quelques instants de tension, Hassan n’avait pas détaché ses yeux de moi.
    
    • Je sais qui tu es, j’ai entendu parler de ton histoire. Toi aussi tu t’habilles et tu rentres chez toi.
    
    • Rachid va être fou de rage quand il saura ce qui s’est passé. J’ai peur de sa réaction.
    
    • Ton mari ne te protège pas ?
    
    • Philippe est un trésor, mais Rachid le domine également.
    
    • Je vois, je te raccompagnerai et je dirai son fait à ce petit voyou de Rachid. Une lope à mes yeux.
    
    Je me suis levée, toujours nue, et me suis dirigée vers Hassan.
    
    Hassan dégageait tant de virilité, d’humeur purement mâle, que mon instinct s’est réveillé à la simple vue de son visage. C’était comme si toutes mes hormones entraient en ébullition… Et je me suis mise à fantasmer sur cette énergie sexuelle qui dégageait de lui et créait en moi de folles et irrésistibles envies. Je me suis mise à imaginer des ébats passionnés, fougueux.
    
    Je ne peux m’empêcher de porter mon regard sur son pantalon, sa braguette est enflée, comme si elle était prête à exploser… Et ma langue vient inconsciemment ...
«1...345...9»