1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (30) : Olga et Hassan.


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... et Philippe, avant que mon hypersexualité et mes sentiments pour l’homme de ma vie ne me poussent à revenir vers Philippe et à rétablir notre couple.
    
    Comme chaque mardi après-midi, je me rendais à la cité dont Rachid était originaire et où il avait pris l’habitude (voir récit n°20) de m’offrir aux jeunes de la cité. Les premières fois, cela s’était déroulé dans une cave de la cité, sur un matelas. Puis, très rapidement, Kamel, un ami très proche de Rachid, avait mis à disposition l’appartement où il habitait. Il était certain de ne pas être dérangé le mardi après-midi, c’est pour cela que ce créneau avait été choisi.
    
    Rachid veillait à ce que mon arrivée à la cité ne passe pas inaperçue. Il exigeait que je sois outrageusement maquillée, que je porte une jupe serrée et courte, un chemisier ou un tee-shirt échancré, qui laissait bien voir mes seins, sans que jamais je n’ai de soutien-gorge. Il m’obligeait aussi à mettre des talons-aiguille qui rendaient ma marche difficile, mais qui mettaient en valeur mes fesses, rendant fous de désir ces jeunes mâles. Au début, Rachid m’accompagnait, puis il a fini par déléguer le suivi de cette journée à Kamel, en qui il avait toute confiance. De toute façon, je n’étais nullement forcée à me rendre dans cette cité, j’y allais parce que Rachid me l’avait demandé, parce que je savais que j’allais prendre mon pied et que j’étais fière de contribuer à l’éducation sexuelle de ces jeunes mâles.
    
    Je prévenais Kamel quand j’arrivais car les ...
    ... quelques mètres qui me séparaient de ma voiture de l’entrée de l’immeuble avaient failli mal tourner quelquefois. J’étais entourée de nombreux jeunes, certains très mécontents de devoir patienter sur la « liste d’attente ». Une fois j’ai cru que j’allais me faire violer dans la rue, certains me prenant dans leurs bras pour me rouler des pelles, me faire sentir leur érection, ouvrir mon chemisier pour me ploter les seins, me mettre la main aux fesses et, de leurs doigts, explorer ma chatte déjà humide et ouverte. J’ai cru qu’ils voulaient me conduire dans une cave ou dans un recoin pour me baiser sans autre forme de procès. Ce jour-là, je suis arrivée pratiquement nue chez Kamel. C’est pourquoi, dès la fois suivante, Kamel et des amis à lui attendaient ma voiture pour m’escorter jusque chez lui. Rachid tenait à conserver la maîtrise de la situation, que tous sachent que j’étais disponible, mais que c’était lui et lui seul qui décidait de l’ordre de passage.
    
    Même accompagnée, j’étais couverte d’injures. J’entendais souvent le mot de Kahba, je savais que c’était le mot pour qualifier les putains en Arabe. Cela exprimait tout le mépris que ces jeunes avaient pour moi. Je passe sur les autres qualificatifs, qui étaient aussi employés par Rachid lors de nos rapports, le moindre étant celui de « salope », que j’assumais volontiers. Ce qu’ils conspuaient aussi c’était la bourge des beaux quartiers de la ville, l’épouse d’un notable et ils le savaient. On avait trouvé sur le centre ...
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