Kathy, ma petite punk (1) - Histoires de Sexe

Kathy, ma petite punk (1)

... sur les fesses, une petite jupe en jean javélisée et déchirée, des collants noirs troués et des grosses pompes lustrées. L’attirail de la parfaite loubarde ... Vu qu’il crachinait, elle me proposa d’aller directement chez elle.

Elle vivait avec sa tante dans une petite baraque de ville, au fond d’une impasse. Catherine, la tata, venait de renter du travail. Elle était encore bien conservée cette brave dame, encore plus petite que sa nièce, mince mais finement musclée. Elle souriait peu, n’avait pas l’air facile. Malgré tout, elle était plutôt mignonne avec son profil de musaraigne et ses yeux de biche. Si elle avait l’habitude de nous laisser vivre notre vie, elle m’accueillait toujours gentiment, par un brin de causette. Après les questions d’usage, elle me proposa d’aller me débarbouiller pendant que Kathy finissait de passer un coup de fil urgent :

— Tu as l’air d’avoir chaud ... Alors fais comme chez toi ...

La salle de bains chez Kathy ... Je m’y étais tellement branlé ... Pour me soulager la nuit quand trop excité je n’arrivais pas à dormir. Ou avec les trésors que l’on trouvait parfois dans le bac à linge ... Pathétique ? Oui, mais j’étais en manque depuis tant d’années ... Mettez-vous à ma place nom de dieu ...

Une fois enfermé, je commençai par me passer un peu d’eau sur le visage et dans les cheveux, pour avoir au moins l’air un peu mouillé. Puis je soulevai le couvercle du panier. Celui-ci était rempli de draps et de taies d’oreiller, mais, tout au ...

... fond, il y avait quelques vêtements. Un pantalon à pinces, deux jupes droites, des chemisettes, des collants noirs impeccables, une nuisette rose saumon et deux slips en dentelles blancs : les habits de Catherine. Un short en jean déchiré et effiloché, une jupe écossaise bardée de fermetures, un tee-shirt tigre et trois strings microscopiques : les affaires de Kathy ... Le feu aux joues, je portai les petites culottes de Catherine à mon visage, car je commençai toujours par celles qui m’excitaient le moins, histoire de faire durer le plaisir. Derrière les odeurs de lessive, elles sentaient l’urine et la chatte. Les minislips de Kathy dégageaient des effluves plus subtiles. Un peu de lessive, de pipi et une odeur troublante, de fleur de lys ou de rose ... Mais pour le moment, je n’avais guère le temps d’en profiter. Je retournai donc dans le salon, non sans m’être assuré au préalable que mon début d’érection ne se voyait pas ...

La soirée se déroula sans incident, selon un schéma immuable. Apéro prolongé en faisant la cuisine avec Kathy, puis repas en tête en tête et balade dans le quartier. A onze heures, nous étions de retour, bien installés dans la chambre de Kathy, à fumer de l’herbe à la fenêtre ...

— Bon, on se pieute ? Proposa-t-elle soudain.

— OK ... Je vais peut-être bouquiner un peu en bas. Répondis-je en m’efforçant de ne rien montrer de l’excitation qui s’emparait de moi.

— Comme tu veux ...

Elle semblait ne se douter de rien. Sans doute n’avait-elle pas ...