1. La curiosité est un vilain défaut mais....


    Datte: 24/12/2018, Catégories: f, fh, ff, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... compare avec l’image gravée dans son esprit des deux jeunes arroseuses. Bien sûr, sa peau n’a plus le velouté de la jeunesse mais par bonheur les vergetures conséquences possibles des grossesses n’ont pas ruiné son abdomen. Par ailleurs, la pratique modérée mais constante d’exercices physiques a conservé, à sa peau, son élasticité. Ses mains confirment, tactilement, ce qu’elle voit. Du ventre, elles dérapent vers l’intérieur des ses cuisses. Ses doigts étirent au passage ses grandes lèvres, découvrant largement cette vibrante cicatrice d’où sourd une limpide cyprine, résultante de sa précédente jouissance.
    
    Observation minutieuse de sa vulve, élargissant ou diminuant l’ouverture par de glissants mouvements du bout des doigts. Plaisir toujours renouvelé de voir jaillir son petit bourgeon encapuchonné au bas de la petite touffe poivre et grise taillée en V qui surplombe son mont de vénus.
    
    Souvent, debout devant son miroir, elle masturbe son clitoris jusqu’à l’orgasme. Aujourd’hui, elle n’y songe même pas. Son esprit, excité par le spectacle champêtre auquel elle a assisté, attend beaucoup plus et sans précipitation. L’observation visuelle et tactile de son corps n’est que prélude à d’autres réjouissances. Aussi abandonne-t-elle son sexe. Ses mains malaxent ses fesses. Elle écarte les deux globes laissant apparaître son petit œillet, tache havane sur sa peau blanche. Elle le chatouille délicatement du bout de l’ongle puis paumes ouvertes, ses mains se hissent jusqu’à sa ...
    ... poitrine.
    
    Caressantes, elles apprécient l’amphorisation de ses hanches et la finesse de sa taille. Autre chose que les hanches droites de garçonnes affichées par les amatrices d’arrosages. Idem pour sa poitrine ! Foin de ces poitrines d’anorexiques ! Même si elle n’a plus la même tenue que vingt ans auparavant, elle fait encore des envieux/ses. Remontant ses seins, les présentant au miroir, elle s’auto-congratule.
    
    — Ça vous plairait pas les minettes d’en avoir des comme ça ? Admirez leur forme ! C’est là que vous comprenez ce que veut dire l’expression en pointes d’obus !
    
    Étirant ses tétons déjà d’une longueur et d’un diamètre remarquables au repos, les roulant sous ses doigts, elle s’exclame :
    
    — Et ceux-là vous n’aimeriez pas les goûter, les déguster, les téter. Mais ils ne sont pas pour vous ! Ils sont à Marah, seulement à Marah, pour Marah !
    
    L’expression « folle de son corps » s’applique littéralement à Marah. Et dans ce corps, ses seins sont ce qu’elle aime le plus, ce dont elle est la plus fière. Les caresses qu’elle leur prodigue augmentent son excitation. Nouvelle coulée de cyprine. Le sentant, elle arrête sa contemplation pleine de caresses et fait couler un bain dans lequel elle déverse avec prodigalité des sels.
    
    Lorsque l’eau en quantité suffisante a généré des volutes de mousse, elle s’y glisse prestement. Elle laisse la baignoire se remplir jusqu’à ce que tout son corps soit immergé. Seul son visage dépasse de l’étendue crémeuse. Alors elle ferme ...
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