1. La curiosité est un vilain défaut mais....


    Datte: 24/12/2018, Catégories: f, fh, ff, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... n’a rien de vraiment particulier. Mobilier minimaliste. Un grand lit dont la couette et l’oreiller froissés montrent que la maîtresse des lieux ne perd pas de temps à le faire. Côté escalier, une antique armoire à glace trois portes. À la droite du lit, côté fenêtre un petit meuble stéréo et un secrétaire. Marah au passage glisse More de Pink Floyd dans le lecteur laser.
    
    Le secrétaire est le seul élément incongru de ce décor. Pas tant de par sa fonction, après tout, il n’est pas interdit d’écrire dans une chambre, que par la place qu’il occupe. Marah eut bien été en peine de s’y installer pour écrire. Même en s’asseyant sur le lit ! Le meuble s’appuie contre le montant droit du lit interdisant à quiconque de s’y asseoir. C’est un de ses secrétaires dont le panneau coulissant de bas en haut laisse place à l’écritoire. Lorsque, à genoux, sur son lit, elle tourne la clé qui permet l’ouverture du battant, elle ne trouve ni bloc de correspondance, ni stylos mais un ensemble hétéroclite d’objets dont l’usage ne prête pas à confusion. Au milieu de la palette habituelle des jouets sexuels en vente dans toutes les bonnes boutiques trône un godemiché en obsidienne noir, véritable œuvre d’art. On peut douter vu l’importance de sa taille que la femme l’utilise.
    
    Négligeant tout ce matériel d’auto-érotisme, elle ouvre une boîte à chaussures anonyme. Contenu digne d’un jeu du petit électricien ! Fils électriques de toutes tailles, pinces contact, bonnes vieilles piles plates de ...
    ... 4,5 Volt et même un rhéostat ! Alors qu’elle musardait sur le Net, Marah est tombée sur une série de photos hard accompagnée d’un commentaire enthousiaste d’un mec qui jouait avec une gégène. Elle se rappela alors les gouzis-gouzis qui traversaient sa langue quand, gamine, elle la mettait au contact des deux lames d’une pile. Ce mec avait un matériel plutôt sophistiqué. Intriguée, elle se renseigna dans le sex-shop qu’elle fréquentait, chercha dans les boutiques en ligne. Résultat néant ! Elle n’avait sans doute pas les bonnes connexions. Se remémorant ses lointains cours de techno au lycée, elle fabriqua son propre matériel. Son idée de génie avait été d’inclure dans son montage un rhéostat qui lui permettait de varier l’intensité du courant.
    
    Elle prend deux piles qu’elle encastre dans une espèce d’étui cartonné qui les maintient collées. Elle fait un montage, en série ou en parallèle, enfin celui des deux qui additionne les voltages. Si elle se rappelle la technique, elle ne se souvient pas du vocabulaire associé. Elle branche une des sorties au rhéostat et l’autre à un fil qui, à son extrémité, se divise en deux branches. L’une, connectée à un morceau de tuyau de cuivre long d’une dizaine de centimètres, l’autre à un fil gainé terminé par une petite pince. Une main sûre introduit le tube dans sa vulve, toujours humide, et klippe l’électrode de fortune sur son clitoris. La même main enserre ses tétons déjà érigés dans deux spirales de même conception mais plus grosses ...
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