1. On récolte ce que l'on sème


    Datte: 24/12/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, confession, Auteur: Jeff le coquin, Source: Revebebe

    ... J’aurais pas dû et je te demande pardon.
    — Ouais, c’est ça… tu demandes pardon. Sauf qu’aujourd’hui tu recommences… Mais moi, depuis l’autre jour, je pense plus qu’à ça ! À quoi tu joues ? Tu veux me rendre folle ou quoi ?
    
    Je reste interdit devant sa farouche détermination et sa logique imparable. Elle enfonce le clou :
    
    — Et puis on n’a pas toute la journée, alors tu te décides, mais faut faire vite. J’en peux plus moi ! Tu veux voir dans quel état tu m’as mise ?
    
    Joignant le geste à la parole, Emma remonte à nouveau sa jupe et je revois apparaître son popotin rebondi, que la culotte ne recouvre effectivement plus. La demoiselle est restée « en l’état », capot grand ouvert, moteur au ralenti. Pas surprenant qu’elle soit si tendue.
    
    Elle me fixe. Elle attend.
    
    À court d’arguments, je sais que je vais encore craquer. Comment résister à pareille convocation ? Et puis j’en crève d’envie autant qu’elle.
    
    — C’est de la folie, Emma…
    — Allez, vas-y !
    
    C’est qu’elle me donnerait des ordres en plus…
    
    Avant d’abdiquer lâchement, je tente de reprendre un minimum de contrôle sur la situation :
    
    — Bon… alors, juste un petit peu, d’accord ? Et après ça c’est terminé, tu promets ?
    
    Elle acquiesce immédiatement. Tenant toujours sa jupe relevée de ses deux mains, elle se penche ostensiblement en avant sur le bureau, ce qui a pour effet de tendre sa croupe vers l’arrière. Elle est prête.
    
    Le Monsieur est prié de se présenter derrière la dame…
    
    Peut-être pour vérifier ...
    ... que je ne file pas à toutes jambes, elle tourne la tête pour m’observer me positionner avec le plus vif intérêt. Un peu voyeuse en plus…
    
    Comme convenu, je m’exécute. Le moment est venu d’expier mes péchés. Tel le fidèle, je reprends ma position précédente, à genoux derrière son postérieur pour entamer mon insolite prière.
    
    La vision obscène de son sexe gorgé de sève et le parfum enivrant qui s’en dégage achèvent de me faire perdre la raison. Elle est irrésistible. Je plaque mes mains sur ses belles fesses, je les écarte sans vergogne, et j’approche mon visage de cet appétissant festin.
    
    Je sens la demoiselle tressaillir. Elle s’offre littéralement à ma bouche en se cambrant encore un peu plus pour relever son fessier et me faciliter l’accès. Quitte à s’en tordre le cou, elle fixe toujours la scène, le regard noir et l’air sévère.
    
    Pour m’amuser un peu, je décide de mettre ses nerfs à l’épreuve une dernière fois :
    
    — Tu es vraiment sûre que c’est ce que tu veux ?
    
    Elle rugit d’impatience :
    
    — Oui ! Dépêche !
    
    Créature des enfers.
    
    À l’instant où ma langue entre enfin en contact avec ses chairs molles et chaudes, elle ne peut réprimer un soupir de satisfaction, ou de soulagement. Sans doute un mélange des deux. Rassurée par sa victoire, elle cesse de m’épier et, pour mieux se laisser aller, elle s’affaisse de tout son buste sur le bureau et commence à gémir. Elle est à bout.
    
    Dans ma tête, c’est un tourbillon où s’affrontent des sentiments contradictoires. ...
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