1. On récolte ce que l'on sème


    Datte: 24/12/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, confession, Auteur: Jeff le coquin, Source: Revebebe

    Résumé des chapitres précédents :Chapitre 1« On ne passe pas par le jardin » :rendant visite à ma copine Marie, j’ai surpris sa fille, Emma, en pleine séance de masturbation. J’ai tenté d’évacuer la gêne avec une plaisanterie, mais la situation a dérapé. J’ai fini par m’échapper avant de commettre l’irréparable.Chapitre 2« Le coup du soutien » :une semaine plus tard, Marie m’a demandé de venir aider Emma en anglais. Ça sentait le piège, mais je ne pouvais pas refuser. Incorrigible, j’ai encore craqué et, sous la forte pression d’Emma, j’ai recommencé à m’intéresser à l’intérieur de sa petite culotte. Nous nous sommes arrêtés juste à temps, au moment où nous avons entendu Marie monter nous prévenir qu’elle s’absentait chez une voisine.
    
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    En bas, la porte vient de claquer.
    
    Emma me jette un œil goguenard. Maintenant nous sommes vraiment seuls.
    
    Convaincu de m’être fait manipuler, j’attaque :
    
    — J’imagine que t’es contente ?
    — Contente de quoi ?
    — Tu savais que ta mère allait s’absenter aujourd’hui, et c’est pour ça que tu m’as fait venir.
    — J’en savais rien du tout !
    
    Mensonge.
    
    On s’observe, et c’est elle qui enchaîne :
    
    — Et si elle était pas montée ma mère ? Tu faisais quoi ?
    — Je faisais quoi ?… Je sais pas…
    — Ah… tu sais pas ?
    
    Elle a dit ça d’un air dégoûté. Je sens qu’elle est nerveuse et qu’elle ne compte pas en rester là. Elle confirme mes impressions :
    
    — Alors on fait comme si elle était pas montée. Comme ça tu ...
    ... sauras… et puis moi aussi.
    
    Elle ne me laisse aucun répit :
    
    — On a qu’à reprendre où on en était…
    
    Ma gorge se serre. Je tente le coup de l’innocent :
    
    — Tu veux parler de l’anglais bien sûr ?
    — Maybe not…
    
    Bilingue avec ça.
    
    Feignant d’être gênée, elle se trémousse sur son siège et, d’un signe de la tête très provocateur, elle m’invite à porter mon attention en direction de son arrière-train.
    
    Ingénue, elle précise :
    
    — Tu me l’as pas remise comme il faut…
    
    Vade retro, satana !
    
    Elle parle évidemment de sa petite culotte, que je n’ai pas eu le temps de remonter sur ses fesses quand j’ai entendu Marie gravir les escaliers. Mentalement, je visualise à nouveau ce qu’il y a sous sa jupe. Je serais très étonné qu’elle ait vraiment envie que je lui remette sa culotte « comme il faut ».
    
    — C’est un peu gênant, ajoute-t-elle, d’un air pincé.
    — Écoute Emma, on est en train de faire n’importe quoi et tu le sais très bien. Si ta mère savait ce qui se passe ici en ce moment, je crois qu’elle m’en voudrait beaucoup.
    
    Je comprends tout de suite que je l’agace. Elle s’énerve :
    
    — Ma mère, je m’en fous, et tu t’en fous aussi d’ailleurs ! Alors arrête avec ça ! Et c’est pas moi qui ai commencé, je te signale…
    
    Sur ce point, je ne peux lui donner tort. Elle insiste :
    
    — C’est toi qui m’as mis une main dans la culotte… l’autre jour, au salon. Et t’as même fait un peu plus que ça… Moi, je t’avais rien demandé !
    — J’ai fait une bêtise, Emma, une grosse bêtise. ...
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