1. On récolte ce que l'on sème


    Datte: 24/12/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, confession, Auteur: Jeff le coquin, Source: Revebebe

    ... Conclusion toute personnelle : Emma aime bien ça dans le rectum aussi… ce qui ne calme pas mon érection.
    
    Mon sexe me fait encore mal, coincé qu’il est, le pauvre, dans mon pantalon toujours strictement boutonné. J’hésite à lui faire prendre l’air, pour prendre Emma comme un soudard, et comme elle mériterait que je m’y emploie dans les plus brefs délais. Mais j’ai le pressentiment que je ne serai pas forcément capable de tenir bien longtemps et, ce qui me préoccupe davantage, j’estime que la baiser ici et tout de suite comme j’envisage un instant de la baiser, c’est-à-dire plutôt brusquement, serait franchir un cap que je me refuse encore à franchir. Un peu de tenue, quoi !
    
    Je décide alors qu’elle est plus que mûre et que je vais la faire jouir rapidement, telle qu’elle est, affalée sur son bureau, totalement offerte, pantelante et déjà à deux doigts (c’est une expression) de l’explosion finale. Elle est dotée entre les cuisses d’une véritable machine à plaisir, parfaitement huilée, fonctionnelle, synchrone, et qui ne demande qu’à démarrer à la première étincelle.
    
    Et ça ne fait pas un pli. Ça survient soudainement, comme un petit séisme.
    
    Elle s’agite. Sa respiration devient erratique. Une première secousse fait vibrer ses cuisses dans toute leur lourdeur. Je vois ses mains se crisper sur le tissu de sa jupe auquel elle se cramponne comme pour ne pas tomber. Elle râle plus sourdement. Elle est en train de partir.
    
    J’insiste sur son clitoris pour le coup fatal. ...
    ... Elle pousse encore des fesses vers l’arrière en donnant de petits coups désordonnés, des saccades.
    
    Elle va venir.
    
    Un grognement plus fort…
    
    Et elle cède.
    
    Elle bredouille quelque chose que je ne comprends pas. Et puis elle lâche un « Ouiiiii… ! », très grave et très long. Un « Oui » qui vient du dedans. Un « Oui » de soulagement.
    
    Un dernier spasme.
    
    Elle expire.
    
    C’est fini.
    
    Je reprends mon haleine. Pour mes esprits, je verrai plus tard. Je me relève. J’ai mal aux genoux. Je me rassois à côté d’elle. Emma est abattue sur son bureau, les deux bras maintenant étalés de chaque côté de sa tête. Dans un effort visible, elle s’appuie dessus et se retourne vers moi.
    
    — Oh, la vache… ! lâche-t-elle, les yeux écarquillés de surprise, épuisée, étourdie.
    
    Elle a le visage un peu bouffi des femmes qui viennent de prendre un plaisir sincère et puissant. Je suis heureux pour elle et pas trop mécontent de mon coup.
    
    Je la regarde, admiratif. Pas une seconde elle n’a semblé se soucier de ma virilité, à aucun moment elle n’a cherché à savoir si, éventuellement, elle aurait pu trouver quelque chose d’intéressant dans mon pantalon. Du début à la fin, elle n’a eu qu’une obsession : son plaisir.
    
    Ce n’est peut-être pas plus mal comme ça.
    
    Ne perdant pas le sens des réalités et consciente que sa mère peut revenir à tout moment, elle se relève. D’un geste habile, elle fait descendre sa petite culotte souillée le long de ses cuisses et s’en libère. Elle va la déposer avec ...
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