1. L'importun 5


    Datte: 24/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... Nécessairement une étincelle a circulé entre eux comme le fait l’électricité dans un arc électrique. De quel côté était la tension la plus forte, pour le moment, je l’ignore, mais l’adultère est né à cet instant précis, c’est depuis que je suis cocu. Cocuage confirmé par l’union charnelle qui vient de se réaliser à la seconde
    
    Marie aura perdu l’aura de sa fidélité, j’aurai perdu ma conviction d’être un mari respecté. Sylvain aura tout gagné. Il règnera sur nos vies d’êtres abaissés, humiliés, désespérés et honteux. Marie pourra-t-elle se vanter de ce renouveau acquis par l’offrande désirée et consentie de ses orifices ? Son cul et son con rassasiés se contenteront-ils de ce nouveau maître et apprécieront-ils les traitements variés qu’il a l’intention de leur imposer. Finie pour elle la vie pépère avec moi, en marche vers l’utilisation effrénée. Le changement apportera-t-il à l’infidèle la paix de l’âme ? Les lendemains qui chantent seront-ils au rendez-vous ou gardera-t-elle un goût d’amertume, des regrets en pensant au passé effacé d’un coup de bite ?
    
    Il faut que je regarde, je dois faire le constat amer. Je sais qu’elle voulait se laisser faire avant mon retour, je sais aussi qu’elle avait accordé déjà quelques privautés. Ils l’ont avoué. Je saurai de manière sure que Marie, après un collier de pacotille, a reçu dans la joie les bijoux de famille de son séducteur. J’aila preuve irréfutable que le mot fidélité pour elle a pris des dimensions très lâches, élastiques. ...
    ... Telle qu’elle est couchée, pattes en l’air, cramouille frottée par la lime de Sylvain, Marie a beau me sourire et me remercier, Marie gagne à « qui perd gagne ». Mon estime fichue, ma confiance en la sureté de son jugement foutue, mon amour aboli, anéanti. Mon meilleur sentiment pour elle, du dégoût. Ou alors elle se révolte, bondit, bouscule et chasse celui qui abuse son intelligence, son bon sens celui qui l’égare sur des sentiers arides ou meurt l’amour. Mais je rêve. Marie s’est ébrouée, Marie a soulèvé ses hanches à la rencontre du pieu, Marie a geint d’impatience, Marie a soufflé amoureusement :
    
    - Oh ! Maintenant, viens, prends-moi, baise-moi. Oui, montreèmoi que tu es un homme. Baise-moi fort.
    
    C’est fait, il l’a prise. Sa verge est entrée d’un coup, comme aspirée. Tout le corps de l’homme a suivi au niveau des bassins. Les deux corps sont soudés, immobiles, grisés par la facilité de l’intromission. Sylvain plisse les yeux, Marie quête mon approbation, je ne supporte plus sa recherche de mon consentement, je ne veux plus qu’elle cache sa trahison sous mon cadeau crétin. Je m’en veux, j’en veux à Sylvain. Je hais la salope. Ho ! Cocu, oui, mais pas ça ! Et je me lève et je me remets à hurler :
    
    - Stop ! Arrêtez ! Ah ! Non, pas ça !
    
    Mon cri les pétrifie. Sylvain ne bouge plus, planté tout au fond du vagin, paralysé par la peur. Marie, tête retombée sur le dossier que j’occupais, laisse retomber les jambes qui se croisaient sur les fesses de son amant. D’abord ...