1. Les six week-ends marquants d'Emilie (5)


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... mais vierges de toute culotte. Je fais deux clichés puis elle écarte légèrement les jambes pour un troisième. Je pose l’appareil et la rejoins. Derrière elle, je m’embrasse et son baiser un peu vulgaire invite à d’autres plaisirs.
    
    Je déboutonne rapidement mon pantalon et sort mon sexe que j’amène contre celui d’Emilie. Elle passe la main entre ses jambes et m’introduit en elle. Elle pose un pied sur le rebord de la fenêtre et je la prends vivement. Ses gémissements ne sont pas feints et ses regards vicieux non plus.
    
    Après quelques instants, elle me repousse et s’assied sur le bureau de la chambre. Jambes écartées, elle se caresse le sexe et ses yeux transpirent le désir. Je m’approche et la pénètre lentement.
    
    — Prends-moi bien fort…
    
    Depuis quand n’avais-je pas entendu ces invitations un peu crues ? J’y réponds et Emilie prend son pied. L’ébat se termine néanmoins sur le lit par une levrette en mode mitraillette. Emilie est aux anges au moment où je jouis en elle. Son baiser est doux et profond. Nous remettons de l’ordre dans nos tenues et descendons au restaurant.
    
    Dos à la salle, Emilie me montrera ses seins à de nombreuses reprises durant le souper, toujours avec ce petit air coquin que j’aime tant. Elle s’exhibera plus discrètement au bar, plus tard, puis dans les couloirs de l’hôtel. Nous ferons un nouvelle fois l’amour en ...
    ... remontant. Pour la quatrième fois de la journée.
    
    Au matin, durant un rapport d’une grande tendresse, Emilie me dit soudain :
    
    — Tu me désires toujours autant ? Comme avant ?
    
    — Evidemment, mon amour. Pourquoi en serait-il autrement ?
    
    — Je doute, j’ai changé, j’ai peur que tu ne veuilles plus de moi.
    
    — J’ai peur également quand je te vois si soucieuse et si distante.
    
    Elle jouit quelques instant plus tard, moi aussi. Puis Emilie pleure et je ne sais pas vraiment pourquoi. Elle ne l’explique pas.
    
    Nous rentrons après le petit-déjeuner, en prenant notre temps en route. Nous nous arrêtons à un marché où nous flânons, main dans la main. Le moment est très agréable et j’aimerais qu’il ne se termine jamais.
    
    L’attitude d’Emilie dès notre retour à la maison après avoir été chercher Julien n’est plus la même. Comme si elle avait été rassurée par ces deux jours, elle semble apaisée et à nouveau plus confiante. Les jours suivants confirment cette tendance. Je retrouve une femme aimante et nous retrouvons un bon rythme au niveau de nos relations sexuelles. Emilie y prend visiblement du plaisir, y compris dans les quelques baises. A l’automne, elle remet plusieurs fois de la lingerie fine pour aller travailler et la sodomie refait son apparition dans nos ébats, dont la fréquence augmente petit à petit. En décembre, Emilie tombe à nouveau enceinte. 
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